Agenda du Grand Paris

Jan
12
mar
Paris-Saclay Paysages, exposition itinérante @ https://www.paris-saclay-paysages.fr
Jan 12 – Déc 31 Jour entier
Paris-Saclay Paysages, exposition itinérante @ https://www.paris-saclay-paysages.fr

En 2010, la loi sur le Grand Paris créait l’Etablissement public en charge de l’aménagement et du développement économique du territoire de l’Opération d’intérêt national (OIN) Paris-Saclay. Dix ans après, 7 artistescontemporains (Miguel Chevalier, Céline Clanet, Florence Gilard, Arno Gisinger, Fabrice Hybert. Alain Leloup, Bernard Moninot) ont été invités par l’EPA Paris-Saclay à livrer leur vision sensible de l’évolution du projet dans le cadre d’une exposition disponible en ligne depuis le 12 janvier et qui sera visible dans de nombreux lieux du territoire tout au long de 2021.

 7 regards d’artistes sur un territoire hors du commun

Sous le regard du commissaire d’exposition Marc Partouche, les artistes ont été conviés à témoigner par leur art, d’une décennie de mutation. Cette démarche singulière et inédite est en parfaite adéquation avec la volonté de l’EPA Paris-Saclay de proposer un projet de territoire innovant et audacieux.

La diversité territoriale, géographique, sociale, culturelle et économique réunit sous le nom de Paris-Saclay conduit à aborder l’exposition à partir de la question des paysages : urbains, naturels, humains. Ce mot est à prendre dans un sens à la fois réel et métaphorique et permet de conduire une approche pluridimensionnelle.

Ainsi, trois photographes, trois plasticiens et une auteure de roman graphiques se sont intéressés aux thématiques fortes du territoire.

Les dimensions de nouveaux quartiers et de nouvelles vies urbaines ont été travaillées par Alain Leloup et Bernard Moninot, l’omniprésence de la nature et de la biodiversité ont fait l’objet d’études de Céline Clanet et Florence Gilard, les caractères scientifique et technologique ont été traités par Miguel Chevalier et Fabrice Hybert. Arno Gisinger offre, quant à lui, un témoignage du passé au sein d’un quartier qui sera amené à évoluer dans les prochaines années.

Une exposition à retrouver dans différents lieux culturels de Paris-Saclay

L’EPA Paris-Saclay a souhaité que l’exposition Paris-Saclay Paysages vienne à la rencontre du public dans différents lieux culturels du territoire de l’Opération d’intérêt national.

Différents lieux ont été choisis en Essonne et dans les Yvelines. Chacun accueillera l’exposition avec une scénographie unique. Ainsi, cette itinérance, sur l’année 2021, a été pensée pour offrir une expérience nouvelle à chaque visite. L’exposition reste soumise aux conditions de réouverture des lieux culturels, la programmation est susceptible d’évoluer et sera mise à jour régulièrement sur le site internet dédié.

Au total, plus de soixante-dix œuvres originales ont été créées par les artistes. Cette extraordinaire multiplicité de regard a permis à l’EPA Paris-Saclay d’élaborer un récit cohérent et différent dans chaque ville accueillant l’exposition.

Pour donner à voir l’ensemble de l’exposition, une expérience immersive est prévue via un site dédié en ligne à partir du 12 janvier. Des contenus augmentés rendront l’expérience plus enrichissante : textes, photos du making of, programmation sur l’année, infos pratiques,…

Paris-Saclay, un projet scientifique, économique et urbain

Depuis plus de soixante-dix ans, grandes écoles et universités prestigieuses, établissements scientifiques de premier rang, laboratoires de pointe et centres de R&D de grandes entreprises industrielles se concentrent sur le grand pôle du Sud-Ouest francilien. Une constellation qui dessine le cluster scientifique et technologique de Paris-Saclay, l’un des principaux pôles mondiaux de l’innovation.

En 2010, la loi sur le Grand Paris impulsait une dynamique nouvelle, faisant de l’Opération d’intérêt national (OIN) Paris-Saclay un pilier du développement de la région parisienne. A l’objectif affiché de rapprocher bassins de vie et d’emplois via le métro du Grand Paris, le législateur a ajouté celui de préserver l’équilibre entre urbanisation et espaces naturels et agricoles et forestiers, garanti par une zone de protection – un dispositif jusqu’alors inédit.

Aujourd’hui, l’excellence de l’héritage scientifique de Paris-Saclay irrigue l’un des plus importants projets d’aménagement en Europe et trouve un écho tant dans les développements urbains, paysagers et agricoles que dans la conception de nouveaux modèles universitaires ou dans la dynamique d’innovation à l’œuvre sur le cluster.

En 2021, retrouvez l’exposition :

  • A l’Ecole Normale Supérieure, au sein du Campus urbain de Paris-Saclay à Gif-sur-Yvette (91)
  • A l’Espace Allende à Palaiseau (91)
  • Au Carré à la farine à Versailles (78)
  • Dans La Crypte à Orsay (91)
  • Au Château du Val Fleury à Gif-sur-Yvette (91)
  • Au Point F au sein du Campus urbain de Paris-Saclay, à Gif-sur-Yvette (91)
  • Dans la Salle d’exposition à Guyancourt (78)
  • A l’Opéra de Massy (91)

D’autres lieux seront annoncés au cours de l’année

Mai
20
jeu
Paris-Saclay SPRING – Festival de l’innovation @ ENS Saclay et en ligne
Mai 20 – Mai 21 Jour entier
Paris-Saclay SPRING - Festival de l'innovation @ ENS Saclay et en ligne

De retour en 2021 sur 2 jours dans un format hybride, en présentiel au sein de l’ENS Paris-Saclay mais également en digital, Paris-Saclay SPRING donnera l’opportunité d’étudier la capacité de résilience de la communauté d’innovation de Paris-Saclay avec un focus sur 5 pôles industriels stratégiques du territoire : FoodTech, Mobilités, Technologies Numériques, GreenTech et Santé-Biotech.

Pour la troisième fois de l’histoire de Paris-Saclay, tous les acteurs de l’innovation, de la recherche et de la science s’unissent pour donner à voir l’excellence scientifique et le meilleur de l’innovation technologique là où elle se fait au quotidien.

Investisseurs, chercheurs, entrepreneurs, directeurs R&D sont attendus pour prendre le pouls de l’innovation et rencontrer les pépites de demain à Paris-Saclay !

 Avec au programme :

Jeudi 20 mai :

–    Débats, interviews croisées, conférences inédites autour d’un grand plateau télévisé, diffusés en live toute la journée au sein de l’ENS Paris-Saclay et via la plateforme en ligne. 

–    Démonstrations en présentiel et en digital sur la richesse des offres locales : showroom des entreprises innovantes, stands des Grandes Ecoles, laboratoires, universités et grandes entreprises… 

–    Pitch contest de start-ups et présentation de leurs innovations. 

Vendredi 21 mai :

–      Les Circuits de l’innovation : journée portes ouvertes dans des laboratoires ou centres de R&D privés du territoire de Paris-Saclay qui ouvrent exceptionnellement leurs portes pour l’occasion. Uniquement sur inscription.

–     Conférences de la veille disponibles en replay sur la plateforme digitale.

–     Stands des partenaires exclusivement sur le salon virtuel avec possibilité d’échanges. 

Pendant les deux jours :

–     Rendez-vous BtoB et BtoFi en digital : rencontres ciblées en termes de financement ou de collaboration destinées aux start-ups, investisseurs, directeurs R&D. 

 

NOUVEAUTÉ DE L’ÉDITION 2021 : LANCEMENT DU SPRING 50

 Paris-Saclay souhaite mettre à l’honneur 50 start-ups issues ou en lien avec son écosystème d’innovation et qui ont un projet dans les 5 secteurs stratégiques de Paris-Saclay (FoodTech, Mobilités,

Technologies Numériques, GreenTech et Santé-Biotech), via un appel à candidatures ouvert jusqu’au 26 mars 2021.

Chaque promotion sera parrainée par un entrepreneur emblématique du territoire. Gary Anssens, fondateur de Alltricks et membre du board de la French Tech Paris-Saclay sera le parrain de cette promotion 2021 du SPRING 50.

A l’issue de l’appel à candidatures, les 50 start-ups sélectionnées bénéficieront d’un stand en physique et en virtuel sur l’édition 2021 de SPRING, de l’accès à l’ensemble des rendez-vous d’affaires et à un événement exclusif avec le Parrain 2021 de SPRING 50 et la French Tech Paris-Saclay.

Parmi les lauréats du SPRING 50, 10 start-ups seront retenues pour pitcher 4 minutes en direct le 20 mai 2021, et présenter leurs activités sur le plateau TV.

Deux prix seront également attribués à l’occasion de Paris-Saclay SPRING : l’un décerné par le jury constitué d’industriels et d’investisseurs partenaires de l’événement, et l’autre par le public via un vote en ligne.

Plus d’informations : https://paris-saclay-spring.com/appel-candidatures/ 

Oct
20
mer
Les Ateliers de la République – Le Kremlin-Bicêtre @ Auditorium de l'Echo
Oct 20 @ 20:00 – Déc 9 @ 22:00
Les Ateliers de la République - Le Kremlin-Bicêtre @ Auditorium de l'Echo

UNIVERSITE POPULAIRE PERMANENTE : LES ATELIERS DE LA RÉPUBLIQUE

La ville du Kremlin-Bicêtre a inauguré en 2021 son Université populaire permanente (UPP) dans le but de proposer des temps d’échanges et de réflexions aux habitants. À l’occasion de la rentrée de l’UPP, la ville propose un cycle de 6 conférences dédié à la République qui auront lieu du 20 octobre au 9 décembre prochain.

En décembre 2020, Jean-Luc Laurent, Maire du Kremlin-Bicêtre, a confié une mission d’étude sur le pacte républicain communal à Jean-François Delage, premier-adjoint, et Anissa Azzoug, maire-adjointe chargée de la culture, la laïcité et l’émancipation. Parmi ces propositions figurait celle de réaliser un cycle de formation citoyenne. Les « Ateliers de la République » qui auront lieu du 20 octobre au 9 décembre prochain permettront d’y répondre.

L’histoire de la République, son apprentissage, ses valeurs, son enrichissement ou encore ses spécificités sont autant de sujets qui seront abordés pour définir plus précisément ce qui fonde l’appartenance d’un individu à la communauté de citoyens.

Pour accompagner cette démarche d’éducation populaire, des experts, philosophes, sociologues ou encore des universitaires y participeront. Parmi eux, Stéphanie Roza, Michèle Vianès, David Djaïz, Didier Leschi, Charles Coutel, Isabelle de Mecquenem, ou encore Pap Ndiaye. La modération sera assurée par des étudiants en master journalisme de l’université Cergy Paris Université.

« Ce projet d’éducation populaire est une des réponses que la ville apporte aux fractures économiques, sociales et culturelles qui pèsent au quotidien sur les Français. Notre volonté est de permettre l’émancipation de tous, pas à pas et dans le dialogue, pour ne laisser personne au bord du chemin », précise Jean-Luc Laurent, maire du Kremlin-Bicêtre.

Pour découvrir le programme, c’est ici.

Nov
8
lun
LES GRATTE-CIEL OUBLIÉS DE LA MUETTE – Mémorial de la Shoah de Drancy @ Mémorial de la Shoah, Drancy
Nov 8 @ 10:00 – Déc 31 @ 18:00
LES GRATTE-CIEL OUBLIÉS DE LA MUETTE - Mémorial de la Shoah de Drancy @ Mémorial de la Shoah, Drancy

LES GRATTE-CIEL OUBLIÉS DE LA MUETTE (1931-1976)
Cinq tours symboles de la cité puis du camp de Drancy
Exposition au Mémorial de la Shoah de Drancy À partir du 8 novembre 2021

À l’occasion des 90 ans de leur construction, le Mémorial de la Shoah de Drancy propose de restituer le rôle majeur joué par les cinq tours de la cité de la Muette à travers une exposition inédite, entre histoire et architecture. Cette « cité-jardin » se distingue à plus d’un titre des précédentes : les procédés de fabrication industrielle pour l’édification des premiers gratte-ciel de la région parisienne d’une part, et d’autre part, son utilisation comme camp d’internement et de transit vers la déportation, qui en fait un des lieux de mémoire de la Shoah.

Construits au début des années 1930, ces gratte-ciel de quatorze étages sont alors des symboles de modernité. Conçue par les architectes Eugène Beaudouin et Marcel Lods avec les ingénieurs Vladimir Bodiansky et Jean Prouvé, ils restent un très bon exemple de l’architecture rationnelle des années 1930. Ils ont ainsi dominé les représentations de la cité puis, pendant la guerre, celles du camp d’internement de Drancy qui s’installe à leurs pieds. L’histoire de ces gratte-ciel devient alors étroitement liée à celle du camp. De juillet 1942 à août 1944, 63 000 juifs – sur les 75 000 déportés de France – sont partis de Drancy, essentiellement vers Auschwitz-Birkenau. Ces tours seront détruites en 1976 alors que l’on inaugurait le Mémorial de Drancy, conçu par Shelomo Selinger.

Outre ce récit abondamment illustré, l’exposition rend compte du destin individuel de ceux qui ont conçu les gratte-ciel, mais aussi des prisonniers qui les ont dessinés et décrits, contribuant ainsi à en fixer l’image. Des maquettes, le film Construire, des cartes postales et photographies seront présentés, ainsi que des fac-similés et originaux d’ouvrages et de revues d’architecture qui compléteront l’iconographie des tours disparues de Drancy.

Le 25 mai 2001, la cité est classée Monuments historiques en tant que « réalisation architecturale et urbanistique majeure du XXe siècle […] et en raison également de son utilisation durant la Seconde Guerre mondiale d’abord comme camp d’internement, puis comme camp de regroupement avant la déportation, qui en fait aujourd’hui un haut lieu de la mémoire nationale ».

PARCOURS DE L’EXPOSITION

Entre modernité et fiasco

Symboles de modernité quand ils sont édifiés entre 1931 et 1934 par l’Office public d’habitations à bon marché du Département de la Seine, les gratte-ciel font la fierté de leurs architectes, Eugène Beaudouin et Marcel Lods, et de l’administrateur délégué de l’Office Henri Sellier. En édifiant des tours de 14 étages, ils réalisent une expérience alors quasi unique en France. Cartes postales, articles dans la presse internationale, films, tout semble leur réussir.

Cependant, les effets de la crise économique née du krach boursier de 1929 se font sentir en France dès 1931. En 1934, les tours s’achèvent mais le reste du projet n’est que partiellement achevé. Mis en location, les gratte-ciel font peur, 14 étages, un ascenseur, cette modernité ne plaît pas à tout le monde. Sans locataires, cette cité devient un fiasco. Sellier cède au ministère de la Défense qui veut loger des gendarmes dans les cités de l’Office de la Seine. En 1938, 800 gendarmes républicains mobiles et leurs familles s’installent dans les gratte- ciel et les immeubles « peignes » qui les complètent. A la fin de l’automne, une chute brutale des températures fait geler les conduites d’eau provoquant l’évacuation des locataires et une violente et très politique campagne de presse contre les gratte-ciel et Sellier, ancien ministre du Front populaire. Entretemps, les gendarmes ont réintégré ce qui devient la « caserne de Drancy ».

L’appropriation sous l’Occupation

En juin 1940, c’est dans cette « caserne » que la Wehrmacht s’installe. Elle en fait dès juillet un Frontstalag pour des prisonniers de guerre (PG) français et britanniques. Barbelés, guérites et miradors sont installés. Les gendarmes cohabitent avec ce Frontstalag et quelques- uns parviennent à faire évader des « PG » qui partent vers le Reich ou, pour les soldats coloniaux, vers les camps de l’ouest. De janvier à juillet 1941, ils sont remplacés par des « ressortissants des puissances ennemies », des britanniques jusqu’alors internés à Saint- Denis à la caserne des Suisses saturée. En août, le camp est affecté à l’internement des juifs de la région parisienne raflés en représailles des premiers attentats « judéo-bolchéviques » depuis l’invasion de l’URSS en juin. Décidé par l’Occupant, cet internement est cependant géré par la Préfecture de Police, la Préfecture de la Seine et la garde intérieure et extérieure du camp est assurée par les gendarmes qui habitent les gratte-ciel. Très vite certains font naître terreur et marché noir aux dépens des internés. Pour ces derniers, ces constructions sont associées aux exactions des gendarmes. Plus largement, ils figurent sur les plans et dessins d’internés et sur les rares photographies clandestines du camp.

Une image funeste menant à leur destruction

Quand le camp est libéré en août 1944, il retrouve rapidement de nouveaux détenus, les « suspects de collaboration avec l’ennemi ». De nouvelles cartes postales circulent avec pour légende : « Les gratte-ciel de Drancy, célèbre camp de concentration pendant la guerre ». Les gendarmes cohabitent alors un temps avec les GI’s puis reprennent possession de l’ensemble du site que l’Office d’HBM aimerait récupérer. En 1946, l’Office ne dispose, en effet, que des logements de la grande cour. Avec le soutien du maire, l’Office attaque en justice le ministère de la Défense. Outré, celui-ci réquisitionne l’ensemble. Les relations entre l’Office et la Défense cessent durant des années et la dégradation des tours, non entretenues, débute. En 1960 commencent des pourparlers pour une acquisition par la Défense qui n’aboutissent qu’en 1973. Le projet de Mémorial, porté depuis 1964 par la municipalité et les associations d’anciens internés et déportés, aboutit lui en mai 1976. Pour la Ville comme pour les associations, ce projet est dénommé le monument des « 14 étages » et le dessin des gratte-ciel orne l’invitation alors qu’ils disparaissent après avoir marqué le paysage et les mémoires pendant 45 ans.

INFORMATIONS PRATIQUES
Mémorial de la Shoah, Drancy
110-112 avenue Jean Jaurès 93700 Drancy
Tél. : 01 42 77 44 72
[email protected]
www.memorialdelashoah.org

Ouverture de 10h à 18h
tous les jours, sauf le samedi.
Autour de l’exposition :
Visites guidées

Déc
9
jeu
Les Jeudis de la Métropole : Se déplacer à vélo, quels enjeux pour la Métropole du Grand Paris ? @ En ligne
Déc 9 @ 18:30 – 19:30

Les jeudis de la Métropole
« Se déplacer à vélo, quels enjeux pour la Métropole du Grand Paris? »

Débat en ligne
Jeudi 9 décembre
18h30 – 19h30

Enjeu de santé publique mais également d’attractivité pour les communes, le développement de la pratique du vélo fait partie des nouveaux défis de l’action publique locale. Un enjeu bien identifié par la Métropole du Grand Paris qui met en œuvre tout un panel d’actions pour favoriser la pratique du vélo sur son territoire dans le cadre de sa politique de transition énergé- tique et de lutte contre la pollution de l’air : soutien aux projets locaux en faveur de la mobilité active, accompagnement à l’extension du service Vélib’ Métropole ou encore mise en place d’un Plan vélo métropolitain ambitieux.

AVEC
Philippe LAURENT
Vice-président délégué aux Finances et à l’Information citoyenne, Maire de Sceaux
Jean-Pierre BARNAUD
Vice-Président délégué aux Mobilités et Circulations douces, Maire de Chennevières-sur-Marne
Jacques BAUDRIER
Conseiller délégué au déploiement des pistes cyclables
Louis BELENFANT
Directeur du Collectif Vélo Île-de-France

A suivre sur la PAGE FACEBOOK de la Métropole du Grand Paris
Réagissez en direct sur les réseaux sociaux avec #ParlonsMetropoleDu GrandParis

Mar
27
dim
C’est demain que nous partons – Exposition Mémorial de la Shoah @ Mémorial de la Shoah
Mar 27 @ 10:00 – Déc 22 @ 18:00
C'est demain que nous partons - Exposition Mémorial de la Shoah @ Mémorial de la Shoah

« C’est demain que nous partons. »

Lettres d’internés, du Vel d’Hiv à Auschwitz

Exposition au Mémorial de la Shoah de Drancy
Du 27 mars au 22 décembre 2022

Dans le cadre de la 80e commémoration
de la Rafle du Vel d’Hiv’ (16 et 17 juillet 1942)

À partir du 27 mars 2022, le Mémorial de la Shoah de Drancy présente pour la première fois une grande sélection de lettres d’internés des camps de Drancy et du Loiret, dans son exposition « C’est demain que nous partons. » Lettres d’internés, du Vel d’Hiv à Auschwitz. Ce titre fort dévoile une émouvante confession écrite dans l’une de ces lettres, ultime témoignage d’un destin brisé par la déportation.

Trésors des familles qui les ont confiés au Mémorial, ces lettres sont le témoignage bouleversant de l’humanité derrière les noms et les nombres. Écrites au Vel d’Hiv, à Drancy, dans le Loiret et dans d’autres camps d’internements ces lettres reviennent, 80 ans plus tard, sur ces lieux de mémoire, pour témoigner, à travers leurs auteurs, de la Shoah en France.

INFORMATIONS PRATIQUES
Mémorial de la Shoah, Drancy
110-112 avenue Jean Jaurès 93700 Drancy
Tél. : 01 42 77 44 72 [email protected] www.memorialdelashoah.org
Ouverture de 10h à 18h
tous les jours,
sauf le vendredi et le samedi.
Autour de l’exposition :
Visites guidées

Mar
31
jeu
Les Jeudis de la Métropole – Réduire les nuisances sonores dans la métropole @ Maison du Portugal
Mar 31 @ 18:30 – 21:00
Les Jeudis de la Métropole - Réduire les nuisances sonores dans la métropole @ Maison du Portugal

Les Jeudis de la Métropole

Réduire les nuisances sonores dans la métropole : quels enjeux? Quelles pistes pour mieux vivre demain?

Maison du Portugal
29 avenue du Maréchal-Lyautey
à Villeneuve-le-Roi

Dans le cadre des démarches de dialogue avec les habitants de la Métropole du Grand Paris, les « Jeudis de la Métropole » se déroulent désormais dans les communes métropolitaines pour que les échanges soient au plus près des préoccupations de nos concitoyens.
Le
prochain se déroulera pour la première fois en direct et en public depuis une commune métropolitaine :
Ce jeudi 31 mars 2022 à 18h30 à Villeneuve-le-Roi
Sur le thème « Réduire les nuisances sonores dans la Métropole : Quels enjeux ? Quelles pistes pour mieux vivre demain ?»

Le débat sera également accessible depuis les comptes facebook (https://www.facebook.com/MetropoleGrandParis) et twitter (@GrandParisMGP).

Une vidéo est disponible ici : https://youtu.be/GfAqPqlw1PA

Juil
1
ven
Festival des Art’Dentes au Kremlin-Bicêtre @ Le Kremlin-Bicêtre
Juil 1 – Juil 3 Jour entier

DEUXIÈME ÉDITION DES ART’DENTES

UN FESTIVAL DE RUE QUI PROMEUT LA CULTURE POPULAIRE

Du 1er au 3 juillet au Kremlin-Bicêtre

Initié avec succès l’an dernier, le festival de rue Les Art’Dentes revient cette année pour une deuxième édition encore plus festive. Du 1er au 3 juillet, en collaboration avec l’ECAM, le théâtre intercommunal, 15 spectacles itinérants et gratuits viendront ravir les festivaliers.

Street-art, spectacles de cirque, chorale féministe, déambulation burlesque ou encore pièces de théâtre : cette année les Art’Dentes proposent une programmation circassienne. Avec 15 spectacles différents présentés dans 9 lieux de la ville, les festivaliers pourront découvrir autrement Le Kremlin-Bicêtre.

Plus d’infos et programmation sur https://www.kremlinbicetre.fr/