Agenda du Grand Paris

Avr
1
ven
Aqua Mater – Exposition Salgado – La Défense @ Pavillon Aqua Mater
Avr 1 @ 10:00 – Sep 22 @ 19:00
Aqua Mater - Exposition Salgado  - La Défense @ Pavillon Aqua Mater

PAVILLON AQUA MATER –
EXPOSITION SALGADO
ARCHITECTE SIMÓN VÉLEZ

Le parvis de La Défense accueille, durant 6 mois, l’installation artistique AQUA MATER, une structure naturelle unique de 1000 m2 en bambou exposant une collection inédite de photographies de l’artiste franco-brésilien Sebastião Salgado  sur la thématique de l’eau.
Véritable ode à la fragilité de l’eau, le pavillon en Guadua d’Amazonie offre un écrin naturel singulier aux photographies de Sebastiao Salgado nous rappelant combien l’équilibre de la nature reste subtil.

Architecte colombien, Simón Vélez décline des structures complexes en bambou. Il pratique une architecture qui assume son enracinement dans les matériaux indigènes, tirés de la nature et peu transformés. Le Pavillon AQUA MATER est inspiré des malocas amérindiennes : grandes constructions de piliers de bois, avec un toit en feuilles de palmiers et des hamacs pour seuls mobiliers. Cette architecture naturelle unique est un hommage à ce concept ancestral où toute la communauté vie en parfait équilibre avec son environnement.

PHOTOGRAPHIES DE SEBASTIÃO 
SALGADO SUR LA THÉMATIQUE DE L’EAU
L’Eau est le Bien Commun le plus important de l’Humanité et pourtant l’un des plus menacés. L’Eau occupe une place centrale dans l’œuvre de Sebastião Salgado. Amazonie, Islande, Arctique… Au cours de sa quête exhaustive des peuples et des paysages premiers, mais aussi par son engagement environnemental sur sa terre natale au Brésil, il en a côtoyé depuis trente ans toutes les expressions, il en a éprouvé toutes les fragilités.

PARVIS DE LA DÉFENSE, 92400 COURBEVOIE
DU 1ER AVRIL AU 22 SEPTEMBRE 2022
HORAIRES : DU MARDI AU DIMANCHE, DE 10H À 19H

TARIFS :
ADULTE 16€
ÉTUDIANT – DEMANDEUR D’EMPLOI – PMR 14€ ENFANT – MOINS DE XXX ANS 11€
GROUPE 12€
FAMILLE (2 ADULTES & 2 ENFANTS) 46,50€

Avr
2
sam
Duography – Atelier Grognard
Avr 2 @ 14:53 – Juil 3 @ 15:53
Duography - Atelier Grognard

« DUOGRAPHY » LEK ET SOWAT INVESTISSENT LE 92 !

Le street-art s’invite à Rueil-Malmaison

Du 2 avril au 3 juillet, la ville de Rueil-Malmaison offre aux deux graffeurs parisiens Lek et Sowat leur première rétrospective, « Duography ». Une carte blanche dans un lieu de 650 mètres carrés : l’atelier Grognard (ancienne fabrique de plaques de cuivre, de zinc et d’étain construite au XIXe siècle).

Du « Mausolée » au Centre Pompidou, de la Villa Médicis aux tunnels de métro, l’exposition est l’occasion de découvrir l’itinéraire des deux explorateurs urbains.

Films, tirages, installations, « Duography » dévoile toute l’étendue de leur savoir-faire et revient sur d’anciens travaux.

« Duography », exposition de Lek & Sowat à l’atelier Grognard – Rueil-Malmaison du 2 avril au 3 juillet

Avr
6
mer
HÉROÏNES ROMANTIQUES – Musée de la vie romantique @ Musée de la vie romantique
Avr 6 @ 10:00 – Sep 4 @ 18:00
HÉROÏNES ROMANTIQUES - Musée de la vie romantique @ Musée de la vie romantique

HÉROÏNES ROMANTIQUES

Exposition – Musée de la vie romantique

Du 6 avril au 4 septembre 2022

Qui sont les héroïnes du romantisme et comment sont-elles représentées dans les arts au XIXe siècle ? Le musée de la Vie romantique explore ces questions en ouvrant, le 6 avril 2022, l’exposition Héroïnes romantiques.

Grâce à une sélection d’une centaine d’œuvres – peintures, sculptures, manuscrits et objets
d’art -, l’exposition invite le public à découvrir des héroïnes revisitées ou inventées par le
romantisme : Héroïnes du passé, Héroïnes de fiction et Héroïnes en scène. Ce parcours en trois temps permet de tisser des liens entre les Beaux-arts, la littérature et les arts de la scène qui jouent au XIXe siècle un rôle majeur dans la diffusion d’un héroïsme féminin aux accents tragiques.

Sappho, Jeanne d’Arc, Marie Stuart, Héloïse, Juliette, Ophélie ou encore Atala : ces femmes, dont les récits dramatiques sont connus, ancrent dans l’imaginaire collectif de l’époque une certaine vision du féminin. Dans les Beaux-arts, comme dans la littérature ou la musique, l’héroïne romantique vit des passions fortes, éprouve le désespoir et la mélancolie, aime et meurt d’aimer. Les artistes romantiques, portés par le goût du drame, font de ces destinées exceptionnelles des sujets pour leurs compositions. Les œuvres choisies d’Eugène Delacroix, Anne-Louis Girodet, Théodore Chassériau, Antoine-Jean Gros, Léon Cogniet ou Léopold Burthe, figurent le plus souvent ces femmes diaphanes et fragiles, dénudées, résignées face à un destin inéluctable. Si la création de l’époque est majoritairement l’œuvre d’artistes masculins, l’exposition s’intéresse également aux femmes du XIXe siècle qui mettent en scène des héroïnes dans leurs œuvres. Sont ainsi mises à l’honneur les artistes Marie d’Orléans, Félicie de Fauveau, Frédérique O’Connell, les écrivaines Madame de Staël et George Sand ou encore les interprètes Harriet Smithson, Rachel et Mademoiselle Mars, qui portent à la scène les grands rôles féminins de l’époque. En se saisissant de ce sujet encore peu exploré, l’exposition interroge le regard sur les femmes diffusé par le mouvement romantique, dans une société qui leur laisse alors peu de place.

Cette sélection d’œuvres est enrichie d’une médiation à destination du public familial et scolaire, de contenus sonores donnant vie à des textes d’époque ou encore d’une projection audiovisuelle qui questionne la postérité contemporaine de ces héroïnes. Une riche programmation culturelle accompagne le propos : un podcast sur la fonction jouée  par ces représentations réalisé en partenariat avec Julie Beauzac – créatrice de podcasts sur l’histoire de l’art -, un cycle de concerts de compositrices romantiques proposé par le Conservatoire à rayonnement régional de Paris ou encore un concert de Chloé Mons et Hélène Singer intitulé « Désirs et mythologies féminines ».
Sous la forme d’un ouvrage collectif à entrées thématiques, le catalogue qui accompagne
l’exposition développe un éclairage pluridisciplinaire interrogeant les représentations des
héroïnes romantiques en mêlant histoire et histoire de l’art.

Musée de la Vie romantique
Hôtel Scheffer-Renan
16, rue Chaptal – 75009 PARIS Tél. 01.55.31.95.67

Ouverture
Du mardi au dimanche de 10h à 18h, fermé les lundis et le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre

Photographies en guerre – Musée de l’Armée @ Musée de l'Armée
Avr 6 @ 10:00 – Juil 24 @ 18:00
Photographies en guerre - Musée de l'Armée @ Musée de l'Armée

PHOTOGRAPHIES EN GUERRE

LA PROCHAINE EXPOSITION TEMPORAIRE DU MUSÉE DE L’ARMÉE

DU 6 AVRIL AU 24 JUILLET 2022

Paysages de ruines, chaos des combats, scènes de victoire ou de défaite, portraits de soldats ou de civils…. Les images de la guerre, et singulièrement des guerres passées, imprègnent notre mémoire collective, notamment par le prisme de la photographie. Certains clichés, tels que Raising the Flag on Iwo Jima (Joe Rosenthal) ou Le Drapeau rouge sur le Reichstag (Evgueni Khaldeï), sont même devenus des icônes mondiales. Mais qui sont ceux qui les ont produits ou diffusés ? Dans quelles conditions et pour qui ? Quels sont les ressorts de cette fabrique de l’image de la guerre depuis le milieu du XIXe siècle jusqu’à nos jours ?

Le musée de l’Armée présente pour la première fois une exposition consacrée non pas au conflit, mais à la représentation de celui-ci par la photographie, qui va bien au-delà du reportage de guerre. Depuis l’apparition de ce nouveau médium sur un champ de bataille au milieu du XIXe siècle, les rapports entre photographie et guerre sont complexes, relevant de pratiques plurielles (amateurs ou professionnelles), d’intentions et d’usages multiples (informer, documenter, prouver, convaincre, légitimer, tromper, dénoncer, témoigner, se souvenir…) dans les champs les plus variés (militaire, politique, économique, mais aussi social, culturel et esthétique).

Plaques de verre, planches, albums, portfolios, portraits, vues stéréoscopiques, petits et grands formats… Du Siège de Rome (1849) à l’actuelle guerre en Syrie, en passant par la guerre de Sécession, la guerre de 1870, les deux conflits mondiaux, la guerre du Vietnam, la Guerre Froide ou encore les guerres de décolonisation, le parcours réunit plus de 300 photographies faisant le récit d’une construction médiatique de la guerre à travers l’image. Photographes amateurs et professionnels y confrontent la singularité de leurs regards et de leurs objectifs, parmi lesquels ceux de Margaret Bourke-White, Gerda Grepp, Lee Miller, Robert Capa, Paul Corcuff, Marc Riboud, Don McCullin, Gilles Caron, Nick Ut, Yan Morvan, Laurent Van der Stockt, Richard Mosse, Émeric Lhuisset ou encore Michel Slomka. À travers eux sont en outre abordés des thèmes aussi divers que l’évolution de la presse au XXe siècle, le mythe du photojournaliste, la conquête de l’opinion publique, l’image privée, la théâtralisation de la mort, la véracité de l’image, l’éthique du photographe ou encore l’évolution de son statut et l’émergence de la notion d’auteur.

L’exposition Photographies en guerre est enfin l’occasion de mettre en avant les collections photographiques exceptionnelles du musée de l’Armée , riche de plus de 60 000 items, ainsi que sa politique d’acquisition active auprès de photographes contemporains, tels que Philippe de Poulpiquet ou Édouard Elias.

INFORMATIONS PRATIQUES
Hôtel national des Invalides
129, rue de Grenelle – 75007 Paris
01 44 42 38 77
musee-armee.fr
[email protected]

HORAIRES
Tous les jours de 10h à 18h Nocturne le mardi jusqu’à 21h
(en période d’exposition temporaire)
Le Musée est fermé les 1er mai, 25 décembre et 1er janvier

 

Soutenir – Exposition au Pavillon de l’Arsenal @ Pavillon de l'Arsenal
Avr 6 @ 11:00 – Août 28 @ 19:00
Soutenir - Exposition au Pavillon de l'Arsenal @ Pavillon de l'Arsenal

Soutenir
Ville, architecture et soin

Du 6 avril au 28 août 2022
au Pavillon de l’Arsenal

Début 2020, l’épidémie de Covid fige soudainement l’humanité et vide les villes. En Île-de-France, plus d’un million de personnes choisissent de quitter la métropole pour se protéger. Conséquence immédiate de la crise sanitaire, l’exode urbain rappelle les liens fragiles entre ville et santé, entre architecture et prophylaxie, entre cité et hospitalité. Il ouvre ainsi aussi un champ de questionnement pour la ville de demain : accès aux lieux de soin et place de la médecine ; évolution des établissements de santé et prise en charge de toutes les pathologies ; vieillissement de la population et accessibilité des équipements ou logements ; mortalité urbaine et place des sépultures ; impacts sanitaires de nos métabolismes métropolitains et transformation des territoires…
Commissaires scientifiques
SCAU, collectif d’architectes
Cynthia Fleury, philosophe et psychanalyste
Exposition produite par le Pavillon de l’Arsenal
Entrée libre du 6 avril au 28 aout 2022
En savoir plus 
Avr
7
jeu
Cellule de performance – Exposition collective à la MABA @ MABA
Avr 7 @ 12:00 – Juil 17 @ 18:00
Cellule de performance - Exposition collective à  la MABA @ MABA

Cellule de performance

Mimosa Echard (France), Ensayos (Camila Marambio (Chili), Christy Gast (USA), Bárbara Saavedra (Chili), Carolina Saquel (Chili), Caitlin Franzmann (Australie), Hema’ny Molina (Chili), Carla Macchiavello (Chili), Denise Milstein (USA), Randi Nygård (Norvège), Anna López Luna (Espagne), Jürgen Nefzger (Allemagne), Théophile Peris & Céleste Thouin (France), Gianni Pettena (Italie), Carolina Saquel (Chili), Endre Tót (Hongrie)

du 7 avril au 17 juillet 2022

Prenant pour titre un terme emprunté au milieu sportif, l’exposition collective Cellule de performance, présentée à la MABA du 7 avril au 17 juillet 2022, met en évidence – à travers un ensemble d’œuvres (films, installations, photographies, dessins) d’artistes français et étrangers – des entités qui co-existent et sont réunies par un objectif commun : celui d’une attention à l’autre, au monde et à ses différents écosystèmes, à rebours des enjeux actuels de performance et de résultat.

MABA
16, rue Charles VII
94130 Nogent-sur-Marne [email protected]

Accès
RER A : Nogent-sur-Marne
puis bus 114 ou 210, arrêt Sous-préfecture RER E : Nogent-Le Perreux
puis direction Tribunal d’instance
Métro ligne 1 : Château de Vincennes
puis bus 114 ou 210, arrêt Sous-préfecture Vélib’ n° 4130

Ouvert au public
Les jours de semaine de 13h à 18h
Les samedis et dimanches de 12h à 18h
Fermeture les mardis et les jours fériés
Entrée libre

Exposition Monique Journod – Maison nationale des artistes @ Maison nationale des artistes
Avr 7 @ 14:00 – Août 21 @ 18:00
Exposition Monique Journod - Maison nationale des artistes @ Maison nationale des artistes

MONIQUE JOURNOD
MAISON NATIONALE DES ARTISTES, NOGENT-SUR-MARNE
DU 7 AVRIL AU 21 AOÛT 2022

Du 7 avril au 21 août 2022, la Maison nationale des artistes présente une exposition de peintures de Monique Journod. Avec les bouquets de fleurs, les paysages constituent le thème majeur de l’œuvre de l’artiste, qui développe un travail pictural autour de ses villégiatures : en Bretagne (île de Bréhat), en Normandie (Honfleur), dans le Beaujolais, en Franche-Comté, en Provence, au Maghreb, en Grèce (îles de Mykonos et Hydra).

Élève de Roger Chapelain-Midy à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, Monique Journod obtient le prix de Rome en 1962 et est, aux côtés de Paul Ambille, Alex Berdal, Joël Dabin et Arlette Le More, membre du groupe Demain. Elle expose pendant trente ans au Japon.

« L’art, nous le savons, n’est crédible que s’il est l’authentique reflet de son auteur. Avec Monique Journod nous découvrons ce que doit être un tableau : l’image précieuse que l’on caresse de la main, du regard… ». Paul Ambille, peintre, président d’honneur de la Société des artistes français, président de la Fondation Taylor.

Monique Journod réside à la Maison nationale des artistes.

Maison nationale des artistes
14, rue Charles VII
94130 Nogent-sur-Marne
Tél. : 01 48 71 28 08
[email protected]

Ouverte au public
Tous les jours de 14h à 18h
Entrée libre, sur présentation du pass sanitaire

Accès
RER A : Nogent-sur-Marne puis bus 114 ou 210, arrêt Sous-préfecture
RER E : Nogent-Le Perreux puis direction Tribunal d’instance
Métro ligne 1 : Château de Vincennes puis bus 114 ou 210, arrêt Sous-préfecture
Vélib’ n° 4130

Avr
9
sam
PARIS DANS TES YEUX – Tour Montparnasse @ Tour Montparnasse
Avr 9 @ 10:00 – Juin 30 @ 23:30
PARIS DANS TES YEUX - Tour Montparnasse @ Tour Montparnasse

PARIS DANS TES YEUX

du 9 avril au 30 juin

Un parcours vertigineux tout en haut de la Tour Montparnasse pour découvrir la capitale autrement

L’Observatoire Paris Montparnasse déclare sa flamme à la capitale en imaginant un parcours de visite fait de miroirs. Une expérience immersive et vertigineuse pour tous les amoureux de la capitale à faire en famille ou entre amis pendant les vacances.

Pour ce printemps 2022, l’Observatoire Paris Montparnasse propose un parcours de visite insolite.  Du 56ème étage à la terrasse à ciel ouvert, d’avril à fin juin 2022, PARIS DANS TES YEUX bouscule nos repères dans la capitale. Le Sacré-Cœur est-il vraiment au nord ? La tour Eiffel à l’ouest ?

PARIS DANS TES YEUX : LE GRAND PLONGEON DANS LE PANORAMA PARISIEN

A l’étage panoramique (56e) le parcours de visite sera jalonné de miroirs au sol, le long des fenêtres panoramiques. Une structure tout en miroirs permettra également de faire l’expérience de la profondeur et de la hauteur infinie. Mémorable et hautement instagrammable !

Quant à la terrasse à ciel ouvert, elle s’animera de grands panneaux de miroirs qui reflèteront suivant les moments de la journée le panorama parisien et les nuages qui filent dans le ciel ou le soleil qui se couche. Pour une parenthèse poétique inoubliable.

LA PLUS BELLE VUE DE PARIS DEPUIS PRÈS DE 50 ANS 

Fascinante par son histoire, Paris l’est tout autant par son panorama ! Découvrir la ville depuis le rooftop de la Tour Montparnasse, est toujours une expérience exceptionnelle et mémorable. La vue imprenable qu’offre l’observatoire Paris Montparnasse sur la capitale met nos sens en émoi. A 210m d’altitude, on prend la mesure de la ville, de son horizon, de ses bâtiments iconiques. On embrasse littéralement la ville à 360°.

Imaginé avec Clémence Farrell et Artegalore, la nouvelle scénographie de visite PARIS DANS TES YEUX est une véritable déclaration d’amour à la ville que l’on admire depuis le sommet de la tour Montparnasse depuis bientôt 50 ans !

PARIS DANS TES YEUX du 9 avril au 30 juin 2022
Ouvert 7/7 de 10h – 23h30 (dernière montée 23h)
Adulte : 19€
12- 18 ans & étudiant : 14€
4- 11 ans : 8€
4 ans : gratuit
Sur place, en billetterie
 Adulte : 20€
 12- 18 ans & étudiant : 15€
 4- 11 ans : 8€
 4 ans : gratuit
Avr
12
mar
Incursions sauvages – Exposition au musée de la Chasse et de la Nature @ Musée de la Chasse et de la Nature
Avr 12 @ 11:00 – Sep 11 @ 18:00
Incursions sauvages - Exposition au musée de la Chasse et de la Nature @ Musée de la Chasse et de la Nature

Incursions sauvages

Exposition de street art au musée de la Chasse et de la Nature

Du 12 avril au 11 septembre 2022

Le Musée de la Chasse et de la Nature a choisi sept street artistes pour investir ses salles et réaliser des oeuvres qui interrogeront notre cohabitation avec un monde animal perturbé.

L’exposition Incursions sauvages est une exposition qui s’inscrit dans l’actualité. Elle est née de l’observation, durant le récent confinement, de la porosité manifeste des frontières entre la nature et la ville et de la vision, partout sur la planète, de nombreux animaux sauvages égarés en milieu urbain ; des sangliers, des cerfs et des renards en Occident, plus spectaculaires, des félins en Inde, des ours et des éléphants en Chine. La confrontation est désormais fréquente et ce qui semblait à nos yeux, incongru, est devenu commun.

Ainsi, le Musée de la Chasse et de la Nature a choisi sept street artistes pour investir ses salles et réaliser des oeuvres qui interrogeront notre cohabitation avec un monde animal perturbé.

Si les artistes urbains font toujours du bestiaire, une source d’inspiration de leur travail, dans la continuité de leurs ainés, c’est aujourd’hui pour pointer les préoccupations de nos sociétés contemporaines. Traversés par les questions environnementales relatives à la sauvegarde de l’espèce animale, à sa cohabitation avec l’homme, ils abordent ici l’arrivée impromptue, telle qu’elle s’est récemment produite, d’un bestiaire sylvestre dans la ville – cerfs, sangliers ou blaireaux… En construisant la Cité, l’homme a défini un territoire dans lequel il règne presque sans partage. À l’extérieur de celle-ci, la campagne constitue un monde sauvage, où vivent ensemble animaux partiellement domestiqués et toute une faune indomptée, mise à mal par les actions et les comportements des hommes.

Au-delà du seul propos environnemental, l’exposition se veut également une métaphore de l’art urbain qualifié de sauvage à l’origine qui, le temps de l’exposition, investit le musée ; un art engagé, témoin et lanceur d’alerte. 

Incursions sauvages est organisée en diptyque avec l’exposition Plongées en eaux troubles au Centre d’art urbain, Fluctuart. Cette exposition en miroir interroge cette fois l’intrusion de l’homme dans l’écosystème de la Seine, bouleversant à son tour ses occupants. Les artistes sont là invités à s’emparer de la faune aquatique du fleuve : silure, anguille ou brochet… mais aussi à en imaginer les avatars mythologiques ou leurs mutations biologiques : sirènes, tritons ou monstres hybrides.

Sur les deux sites, c’est donc un large panorama de la scène street art qui se dévoile dans la diversité de ses techniques (spray, pochoir, collage ou installation) et de ses styles (graphique, fantastique ou hyperréaliste) au travers des œuvres d’une quinzaine d’artistes internationaux. Une rare opportunité de suivre la trace puis de s’immerger dans la faune du street art.

Informations pratiques

Musée de la Chasse et de la Nature
62 rue des Archives 75003 Paris
www.chassenature.org

Ouvert du mardi
au dimanche
de 11h00 à 18h00 (dernier accès 17h30)
Nocturnes les mercredis
jusquʼà 21h30 (dernier accès 21h00)

Avr
22
ven
Cinéma en campagne – Exposition à la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé @ Fondation Jérôme Seydoux-Pathé
Avr 22 @ 13:00 – Juil 16 @ 20:00
Cinéma en campagne - Exposition à la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé @ Fondation Jérôme Seydoux-Pathé

Cinéma en campagne

Une exposition inédite sur le Pathé-Rural, un circuit de salles de cinéma hors des sentiers battus

Du 22 avril au 16 juillet 2022

La Fondation inaugure un cycle d’expositions autour de ses appareils et marques emblématiques. Au printemps, le cinéma gagne la campagne à la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé! Du 22 avril au 9 juillet, une exposition inédite présentera pour la première fois un ensemble d’affiches, de programmes illustrés et d’extraits autour de la marque Pathé-Rural. A l’automne, c’est le Pathé-Baby qui sera à l’honneur.

Plus de 5 000 salles de diffusion, des centaines de films

Derrière la marque Pathé-Rural se cache toute une histoire de l’exploitation cinématographique française. Celle de milliers de petites salles qui, de 1928 à la fin des années 1940, permettent de diffuser des films dans les petites villes et les villages.

En plus des palaces parisiens, qui à cette période peuvent compter près d’un millier de places, les salles de cinéma dans lesquelles on retrouve le Pathé-Rural permettent aux films d’être diffusés auprès d’un très grand nombre de spectateurs, et ce, pendant plusieurs années.

Initié par les pouvoirs publics qui souhaitent une meilleure diffusion du cinéma, cette « petite exploitation » va se développer intensément au tournant du parlant, grâce à un catalogue mis au point par Pathé.

Chaque séance Pathé-Rural comprend un grand film, des films comiques, des documentaires, des actualités. Jusqu’à la fin des années 1940, des centaines de films sont projetés grâce au circuit Pathé-Rural.

Un appareil et des salles

Au milieu des années 1920, Pathé met au point le Pathé-Rural. L’appareil est le fruit de la collaboration entre Victor Continsouza (fabricant d’appareils et collaborateur de toujours de Pathé) et des ingénieurs de la société. Le Pathé-Rural permet de projeter des copies d’une largeur de 17,5 mm, soit la moitié du format standard 35mm. Le temps de projection est doublé et le transport facilité. L’appareil diffuse des films sortis un ou deux ans auparavant sur les écrans des grandes villes et en propose des versions réduites. Lancé en 1928, le Pathé-Rural conquiert rapidement des exploitants en herbe.

Le Pathé-Rural est destiné aux petites exploitations. Les films sont diffusés dans les villages, dans des villes moyennes, dans des salles fixes ou dans des lieux exploités par des itinérants. Au début du parlant, en 1929, plus de 5 500 petites villes et communes sont concernées. Au début des années 1930, le circuit est sonorisé.

Bien que le format 17,5 mm soit interdit en 1940 par l’occupant, le circuit Pathé-Rural persiste au format de film 16 mm jusqu’aux années d’après-guerre. Le catalogue de films parlants de Pathé est ainsi largement diffusé.

A ses débuts, le Pathé-Rural s’implante dans des régions encore peu électrifiées. De Fanfan la tulipe à Poil de Carotte, il diffuse des films de tous genres et fait connaître à des milliers de spectateurs les cow-boys Fred et Jim, Charlot, Mickey et Rintintin. Les films, qui sont diffusés quelques mois après leur sortie dans les salles d’exclusivité sont remontés, parfois censurés et leur longueur est réduite à quelques bobines. Jusqu’au milieu des années 1940, plus de 500 programmes différents seront proposés.

Une exposition inédite d’affiches et d’appareils

L’Exposition CINEMA EN CAMPAGNE, présentée à la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé à partir du vendredi 22 avril, est la première exposition consacrée au Pathé-Rural. Elle plonge le visiteur dans l’histoire du plus grand des petits circuits d’exploitation. Très populaire entre la fin du muet et les premières décennies du cinéma parlant, l’histoire du Rural est évoquée grâce à ses éclatantes affiches de films. Ces lithographies hautes en couleurs ont permis à des affichistes de différentes générations de développer leur talent. Les catalogues, les bandes-annonces, ainsi que des extraits de films parlants et sonores illustrent cette histoire, aux côtés des différents projecteurs et caméras créés pour ce réseau.

Des ateliers pour le jeune public : atelier A l’affiche !

Depuis les débuts du cinéma, l’affiche joue un rôle essentiel pour capter l’attention du public. Que ce soit par la présence fascinante de ses vedettes, sa palette flamboyante ou encore l’originalité de son style graphique, l’affiche a pour vocation d’attirer les foules dans les salles. Objet à la fois artistique et commercial, elle est aussi un véritable condensé du film à venir, qui permet au spectateur de plonger dans son univers et d’en imaginer l’histoire et l’ambiance générale.

Et si à votre tour, vous tentiez de créer votre propre affiche ? Après une visite de l’exposition Pathé-Rural et avoir vu un film, les participants choisiront les éléments à mettre en valeur pour illustrer l’intrigue et la promouvoir tout en respectant les contraintes de l’exercice. Au moyen de collages, pochoirs, à vous de faire naître les contrastes les plus percutants, les couleurs les plus accrocheuses et les personnages les plus attachants pour raconter toute une histoire… À vos feutres et chevalets !

Durée de l’atelier : 2 heures. A partir de 6 ans.

Fondation Jérôme Seydoux-Pathé
73 avenue des Gobelins, 75013 Paris
www.fondation-jeromeseydoux-pathe.com

Tarifs :
Billet couplé 1 séance de cinéma + accès aux espaces d’exposition :
Tarif plein : 7 € ; Tarif réduit : 5,50 € ; Moins de 14 ans : 4,50 €
Tarif partenaire (pour les abonnés du Libre Pass de la Cinémathèque française
et le CinéPass Pathé Gaumont) : 4 €
Carte 5 places valable 3 mois : 20 €
Carte 5 places à retirer sur place
Tarif ateliers : 8€ par personne ; tarif famille (4 p.) : 28€ ; tarif famille (5p.) : 32 € ; à partir de la 5ème place : 4 €