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La Vie HLM
Histoires d’habitant.e.s de logements populaires
Auberbilliers 1950 – 2000
Exposition du 16 octobre 2021 au 30 juin 2022
Présentée par : AMULOP – Association pour un Musée du Logement populaire
“La vie HLM. Histoires d’habitant·e·s de logements populaires. Aubervilliers, 1950-2000” est une exposition présentée in situ, dans la barre Grosperrin de la cité Émile-Dubois, communément appelée « les 800 » depuis sa construction, en 1957, à proximité immédiate du Fort d’Aubervilliers (métro ligne 7).
L’exposition propose une expérience immersive dans le quotidien et les parcours de quatre familles qui ont habité la cité des années 1950 aux années 2000, à travers la reconstitution de tout ou partie de leurs logements.
Au cours des deux visites que nous proposons, au choix, le récit de nos guides médiateur·trice·s met à la portée de tous une histoire incarnée d’Aubervilliers et de la France contemporaine vue des quartiers populaires.
CITÉ ÉMILE-DUBOIS
Allée Charles-Grosperrin
93300 AUBERVILLIERS
M° 7 Fort d’Aubervilliers
Tout public
(individuels et groupes)
Visites et ateliers pédagogiques du CM1 à l’université
Réservations sur : https://www.laviehlm-expo.com/
Les collèges en Seine-Saint-Denis, un patrimoine commun
Archives départementales de la Seine-Saint-Denis
Du 2 décembre 2021 au 18 septembre 2022
Visites guidées :
- jeudi 3 février à 14 h 30
- mardi 22 mars à 14 h 30
- mercredi 13 avril à 14 h 30
- jeudi 19 mai à 18 h
- jeudi 16 juin à 14 h 30

HEY! Le Dessin
à La Halle Saint Pierre
jusqu’au 31 décembre 2022
La Halle Saint Pierre présente du 22 janvier au 31 décembre 2022 une nouvelle exposition qui sera dédiée au dessin : HEY ! Le Dessin. Après quatre expositions fondatrices consacrées à la pop culture (2011, 2013, 2017 et 2019), la Halle Saint Pierre et la revue HEY! modern Art & Pop Culture s’associent à nouveau pour poursuivre leur exploration de la scène artistique alternative.
Le dessin est mis à l’honneur comme geste créateur fondamental et les possibilités de développement qu’il suscite. Par l’exclamation HEY! Le Dessin, l’exposition manifeste d’emblée son intention : convoquer la surprise, la curiosité, l’émerveillement, le rejet, l’attraction, l’émotion, l’angoisse. Elle n’a aucune prétention à l’exhaustivité, ni à une histoire du dessin.
L’exposition réunit soixante artistes internationaux auxquels s’ajoutent un ensemble inédit d’œuvres d’art carcéral japonais ainsi que des dessins préparatoires de graffiti abordés sous un nouveau regard. Elle offre une large visibilité à des arts porteurs d’une esthétique contemporaine dans laquelle l’énergie créatrice de la contre-culture est une force double de proposition et de contestation.
On retrouvera en effet dans cette exposition les figures séditieuses du lowbrow art nourries de l’iconographie des médias populaires, les fantasmographies du pop surréalisme redécouvrant l’héritage des grandes traditions picturales, les tribunes libres du street art et le « moi-peau » du tatouage, les échappées individuelles et solitaires de l’art brut et les expressions raffinées et libertaires d’un « œil à l’état sauvage ». L’altérité artistique y est présentée dans sa diversité et sa complexité comme forme de résistance contre l’appauvrissement de notre imaginaire collectif.
Informations pratiques
Halle Saint Pierre
2 rue Ronsard, 75018 Paris
Tél. : 01 42 58 72 89
https://www.hallesaintpierre.org

Exposition
Boilly (1761-1845)
Chroniques parisiennes
16 février – 26 juin 2022 – Musée Cognacq-Jay
Artiste virtuose, prolifique et inclassable, Louis-Léopold Boilly (1761-1845) se fait le chroniqueur enthousiaste de Paris pendant soixante ans, d’une révolution à l’aube d’une autre (1789 et 1848). Il est à la fois le portraitiste des Parisiens, le peintre de scènes urbaines, l’inventeur de trompe-l’œil saisissants et l’auteur de caricatures piquantes.
Cette exposition monographique explore la carrière foisonnante de Boilly au travers de 130 œuvres qui invitent à découvrir la singularité de l’artiste, son brio, son humour et son inventivité. Elle présente plusieurs chefs-d’œuvre inédits ou exposés pour la première fois en France.
Originaire du Nord de la France, Boilly part à la conquête de la capitale à l’âge de 24 ans, en 1785, pour ne plus jamais la quitter. Peu intéressé par la grande histoire de Paris, il est fasciné par la modernité de la ville, son effervescence et ses spectacles. Boilly, en chroniqueur de la vie quotidienne, dresse le portait intime d’une génération.
L’artiste aime scruter les lieux comme les visages de Paris. Il s’illustre dans l’art du portrait en fixant les visages des Parisiens et des Parisiennes sur des petits formats qui deviennent sa marque de fabrique. Le portraitiste se double volontiers du caricaturiste, posant sur ses concitoyens un regard amusé, voire mordant. Son goût pour la provocation comme pour la virtuosité technique se retrouve dans ses Trompe-l’œil, à l’éblouissante qualité illusionniste.
L’exposition dévoile également le jeu raffiné auquel se livre l’artiste pour se mettre lui-même en scène. Il brosse des autoportraits pleins de dérision, multiplie les signatures et se glisse parmi les protagonistes de ses scènes de foule, à l’image d’un Alfred Hitchcock dans ses films. Ces stratagèmes instaurent une relation complice entre l’artiste et le spectateur. Tout au long du parcours de l’exposition, le visiteur est invité, dans un jeu de piste ludique, à retrouver le visage ou les indices de la présence de Boilly.
Organisée à l’occasion de la publication du catalogue raisonné de l’artiste rédigé par Etienne Bréton et Pascal Zuber (édition Arthena, 2019), cette exposition sera l’occasion de découvrir plusieurs chefs-d’œuvre présentés pour la première fois en France et provenant de prestigieuses collections particulières, dont l’une des plus importantes, aujourd’hui conservée au Ramsbury Manor Foundation, au Royaume-Uni.
Le parcours de l’exposition prend une ampleur supplémentaire en se déployant dans huit salles du musée, à l’image de l’exposition passée « L’Empire des sens, de Boucher à Greuze ».
MUSÉE COGNACQ-JAY
8 rue Elzévir – 75003 Paris
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h
Billet unique exposition temporaire et collections permanentes : plein tarif : 8€ / tarif réduit : 6€

Exposition SIMONE VEIL
Un destin européen
Cité de l’Économie
du 15 mars au 31 octobre 2022
Depuis le 1er janvier et jusqu’au 30 juin 2022, la France assure la présidence du Conseil de l’Union européenne, avec un programme défini autour de trois ambitions : une Europe plus souveraine, un nouveau modèle européen de croissance et une Europe humaine, fière de sa culture, confiante dans la science et le savoir. La Cité de l’Économie – en partenariat avec l’hebdomadaire Paris Match – rend hommage à travers cette exposition photographique à Simone Veil, une femme dont la vie a été marquée par son engagement politique européen.
Simone Veil, un destin européen – installée dans l’élégant Hall Defrasse de la Cité de l’Économie – explore la vie de Simone Veil et son parcours politique européen, à travers 16 panneaux immersifs alliant archives photographiques issues du fonds photo de Paris Match, et extraits sonores des principaux discours ayant ponctué la très riche carrière politique de cette femme exceptionnelle.
L’exposition photo est amplifiée avec des capsules audio pour aller à la rencontre d’une femme engagée pour l’Europe. Chacune de ces archives sonores a été choisie dans la continuité des différentes thématiques abordées. Le visiteur, saisi par la force d’une image, pourra en découvrir le contexte à la lecture des légendes documentées, et sera accompagné tout au long de l’exposition par la voix de Simone Veil s’exprimant sur des sujets divers comme Une vision pour l’Europe (extrait d’une interview du 2 avril 1979, sur Europe 1), Une enfance insouciante (extrait d’une interview du 23 avril 2006), Discours à Auschwitz (extrait de son discours prononcé le 27 janvier 2005), La légalisation de l’IVG (discours du 26 novembre 1974 à l’Assemblée), Une femme face aux hommes politiques (extrait d’une interview du 23 avril 2006), Une Européenne convaincue (extrait du “Club de la presse” du 22 avril 1979), Une pionnière au Parlement Européen (extrait d’une interview du 17 janvier 1979) ou encore L’Immortelle (discours de Jean d’Ormesson à l’Académie française en 2010).
CITÉCO
la Cité de l’Économie
1, place du Général-Catroux
75017 Paris
citeco.fr
Horaires
Du mardi au dimanche de 14h à 18h
Le samedi jusqu’à 19h
Un jeudi par mois jusqu’à 22h

« C’est demain que nous partons. »
Lettres d’internés, du Vel d’Hiv à Auschwitz
Exposition au Mémorial de la Shoah de Drancy
Du 27 mars au 22 décembre 2022
Dans le cadre de la 80e commémoration
de la Rafle du Vel d’Hiv’ (16 et 17 juillet 1942)
À partir du 27 mars 2022, le Mémorial de la Shoah de Drancy présente pour la première fois une grande sélection de lettres d’internés des camps de Drancy et du Loiret, dans son exposition « C’est demain que nous partons. » Lettres d’internés, du Vel d’Hiv à Auschwitz. Ce titre fort dévoile une émouvante confession écrite dans l’une de ces lettres, ultime témoignage d’un destin brisé par la déportation.
Trésors des familles qui les ont confiés au Mémorial, ces lettres sont le témoignage bouleversant de l’humanité derrière les noms et les nombres. Écrites au Vel d’Hiv, à Drancy, dans le Loiret et dans d’autres camps d’internements ces lettres reviennent, 80 ans plus tard, sur ces lieux de mémoire, pour témoigner, à travers leurs auteurs, de la Shoah en France.
INFORMATIONS PRATIQUES
Mémorial de la Shoah, Drancy
110-112 avenue Jean Jaurès 93700 Drancy
Tél. : 01 42 77 44 72 [email protected] www.memorialdelashoah.org
Ouverture de 10h à 18h
tous les jours,
sauf le vendredi et le samedi.
Autour de l’exposition :
Visites guidées

PAVILLON AQUA MATER –
EXPOSITION SALGADO
ARCHITECTE SIMÓN VÉLEZ
Le parvis de La Défense accueille, durant 6 mois, l’installation artistique AQUA MATER, une structure naturelle unique de 1000 m2 en bambou exposant une collection inédite de photographies de l’artiste franco-brésilien Sebastião Salgado sur la thématique de l’eau.
Véritable ode à la fragilité de l’eau, le pavillon en Guadua d’Amazonie offre un écrin naturel singulier aux photographies de Sebastiao Salgado nous rappelant combien l’équilibre de la nature reste subtil.
Architecte colombien, Simón Vélez décline des structures complexes en bambou. Il pratique une architecture qui assume son enracinement dans les matériaux indigènes, tirés de la nature et peu transformés. Le Pavillon AQUA MATER est inspiré des malocas amérindiennes : grandes constructions de piliers de bois, avec un toit en feuilles de palmiers et des hamacs pour seuls mobiliers. Cette architecture naturelle unique est un hommage à ce concept ancestral où toute la communauté vie en parfait équilibre avec son environnement.
PHOTOGRAPHIES DE SEBASTIÃO
SALGADO SUR LA THÉMATIQUE DE L’EAU
L’Eau est le Bien Commun le plus important de l’Humanité et pourtant l’un des plus menacés. L’Eau occupe une place centrale dans l’œuvre de Sebastião Salgado. Amazonie, Islande, Arctique… Au cours de sa quête exhaustive des peuples et des paysages premiers, mais aussi par son engagement environnemental sur sa terre natale au Brésil, il en a côtoyé depuis trente ans toutes les expressions, il en a éprouvé toutes les fragilités.
PARVIS DE LA DÉFENSE, 92400 COURBEVOIE
DU 1ER AVRIL AU 22 SEPTEMBRE 2022
HORAIRES : DU MARDI AU DIMANCHE, DE 10H À 19H
TARIFS :
ADULTE 16€
ÉTUDIANT – DEMANDEUR D’EMPLOI – PMR 14€ ENFANT – MOINS DE XXX ANS 11€
GROUPE 12€
FAMILLE (2 ADULTES & 2 ENFANTS) 46,50€

« DUOGRAPHY » LEK ET SOWAT INVESTISSENT LE 92 !
Le street-art s’invite à Rueil-Malmaison
Du 2 avril au 3 juillet, la ville de Rueil-Malmaison offre aux deux graffeurs parisiens Lek et Sowat leur première rétrospective, « Duography ». Une carte blanche dans un lieu de 650 mètres carrés : l’atelier Grognard (ancienne fabrique de plaques de cuivre, de zinc et d’étain construite au XIXe siècle).
Du « Mausolée » au Centre Pompidou, de la Villa Médicis aux tunnels de métro, l’exposition est l’occasion de découvrir l’itinéraire des deux explorateurs urbains.
Films, tirages, installations, « Duography » dévoile toute l’étendue de leur savoir-faire et revient sur d’anciens travaux.
« Duography », exposition de Lek & Sowat à l’atelier Grognard – Rueil-Malmaison du 2 avril au 3 juillet

HÉROÏNES ROMANTIQUES
Exposition – Musée de la vie romantique
Du 6 avril au 4 septembre 2022
Qui sont les héroïnes du romantisme et comment sont-elles représentées dans les arts au XIXe siècle ? Le musée de la Vie romantique explore ces questions en ouvrant, le 6 avril 2022, l’exposition Héroïnes romantiques.
Grâce à une sélection d’une centaine d’œuvres – peintures, sculptures, manuscrits et objets
d’art -, l’exposition invite le public à découvrir des héroïnes revisitées ou inventées par le
romantisme : Héroïnes du passé, Héroïnes de fiction et Héroïnes en scène. Ce parcours en trois temps permet de tisser des liens entre les Beaux-arts, la littérature et les arts de la scène qui jouent au XIXe siècle un rôle majeur dans la diffusion d’un héroïsme féminin aux accents tragiques.
Sappho, Jeanne d’Arc, Marie Stuart, Héloïse, Juliette, Ophélie ou encore Atala : ces femmes, dont les récits dramatiques sont connus, ancrent dans l’imaginaire collectif de l’époque une certaine vision du féminin. Dans les Beaux-arts, comme dans la littérature ou la musique, l’héroïne romantique vit des passions fortes, éprouve le désespoir et la mélancolie, aime et meurt d’aimer. Les artistes romantiques, portés par le goût du drame, font de ces destinées exceptionnelles des sujets pour leurs compositions. Les œuvres choisies d’Eugène Delacroix, Anne-Louis Girodet, Théodore Chassériau, Antoine-Jean Gros, Léon Cogniet ou Léopold Burthe, figurent le plus souvent ces femmes diaphanes et fragiles, dénudées, résignées face à un destin inéluctable. Si la création de l’époque est majoritairement l’œuvre d’artistes masculins, l’exposition s’intéresse également aux femmes du XIXe siècle qui mettent en scène des héroïnes dans leurs œuvres. Sont ainsi mises à l’honneur les artistes Marie d’Orléans, Félicie de Fauveau, Frédérique O’Connell, les écrivaines Madame de Staël et George Sand ou encore les interprètes Harriet Smithson, Rachel et Mademoiselle Mars, qui portent à la scène les grands rôles féminins de l’époque. En se saisissant de ce sujet encore peu exploré, l’exposition interroge le regard sur les femmes diffusé par le mouvement romantique, dans une société qui leur laisse alors peu de place.
Cette sélection d’œuvres est enrichie d’une médiation à destination du public familial et scolaire, de contenus sonores donnant vie à des textes d’époque ou encore d’une projection audiovisuelle qui questionne la postérité contemporaine de ces héroïnes. Une riche programmation culturelle accompagne le propos : un podcast sur la fonction jouée par ces représentations réalisé en partenariat avec Julie Beauzac – créatrice de podcasts sur l’histoire de l’art -, un cycle de concerts de compositrices romantiques proposé par le Conservatoire à rayonnement régional de Paris ou encore un concert de Chloé Mons et Hélène Singer intitulé « Désirs et mythologies féminines ».
Sous la forme d’un ouvrage collectif à entrées thématiques, le catalogue qui accompagne
l’exposition développe un éclairage pluridisciplinaire interrogeant les représentations des
héroïnes romantiques en mêlant histoire et histoire de l’art.
Musée de la Vie romantique
Hôtel Scheffer-Renan
16, rue Chaptal – 75009 PARIS Tél. 01.55.31.95.67
Ouverture
Du mardi au dimanche de 10h à 18h, fermé les lundis et le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre

PHOTOGRAPHIES EN GUERRE
LA PROCHAINE EXPOSITION TEMPORAIRE DU MUSÉE DE L’ARMÉE
DU 6 AVRIL AU 24 JUILLET 2022
Paysages de ruines, chaos des combats, scènes de victoire ou de défaite, portraits de soldats ou de civils…. Les images de la guerre, et singulièrement des guerres passées, imprègnent notre mémoire collective, notamment par le prisme de la photographie. Certains clichés, tels que Raising the Flag on Iwo Jima (Joe Rosenthal) ou Le Drapeau rouge sur le Reichstag (Evgueni Khaldeï), sont même devenus des icônes mondiales. Mais qui sont ceux qui les ont produits ou diffusés ? Dans quelles conditions et pour qui ? Quels sont les ressorts de cette fabrique de l’image de la guerre depuis le milieu du XIXe siècle jusqu’à nos jours ?
Le musée de l’Armée présente pour la première fois une exposition consacrée non pas au conflit, mais à la représentation de celui-ci par la photographie, qui va bien au-delà du reportage de guerre. Depuis l’apparition de ce nouveau médium sur un champ de bataille au milieu du XIXe siècle, les rapports entre photographie et guerre sont complexes, relevant de pratiques plurielles (amateurs ou professionnelles), d’intentions et d’usages multiples (informer, documenter, prouver, convaincre, légitimer, tromper, dénoncer, témoigner, se souvenir…) dans les champs les plus variés (militaire, politique, économique, mais aussi social, culturel et esthétique).
Plaques de verre, planches, albums, portfolios, portraits, vues stéréoscopiques, petits et grands formats… Du Siège de Rome (1849) à l’actuelle guerre en Syrie, en passant par la guerre de Sécession, la guerre de 1870, les deux conflits mondiaux, la guerre du Vietnam, la Guerre Froide ou encore les guerres de décolonisation, le parcours réunit plus de 300 photographies faisant le récit d’une construction médiatique de la guerre à travers l’image. Photographes amateurs et professionnels y confrontent la singularité de leurs regards et de leurs objectifs, parmi lesquels ceux de Margaret Bourke-White, Gerda Grepp, Lee Miller, Robert Capa, Paul Corcuff, Marc Riboud, Don McCullin, Gilles Caron, Nick Ut, Yan Morvan, Laurent Van der Stockt, Richard Mosse, Émeric Lhuisset ou encore Michel Slomka. À travers eux sont en outre abordés des thèmes aussi divers que l’évolution de la presse au XXe siècle, le mythe du photojournaliste, la conquête de l’opinion publique, l’image privée, la théâtralisation de la mort, la véracité de l’image, l’éthique du photographe ou encore l’évolution de son statut et l’émergence de la notion d’auteur.
L’exposition Photographies en guerre est enfin l’occasion de mettre en avant les collections photographiques exceptionnelles du musée de l’Armée , riche de plus de 60 000 items, ainsi que sa politique d’acquisition active auprès de photographes contemporains, tels que Philippe de Poulpiquet ou Édouard Elias.
INFORMATIONS PRATIQUES
Hôtel national des Invalides
129, rue de Grenelle – 75007 Paris
01 44 42 38 77
musee-armee.fr
[email protected]
HORAIRES
Tous les jours de 10h à 18h Nocturne le mardi jusqu’à 21h
(en période d’exposition temporaire)
Le Musée est fermé les 1er mai, 25 décembre et 1er janvier