Mis à jour le vendredi 19 novembre 2021 by Olivier Delahaye
Ce 18 novembre, la FNAIM Grand Paris a remis le prix Haussmann à Stéphane Gizard pour son ouvrage Paris Silence, qui retrace en photos un mois de confinement à Paris au printemps 2020.
Le 25 mars de l’an passé, une semaine après la mise en place du confinement, le photographe, connu pour sa monographie Modern Lovers publiée en 2013, enfourche son scooter et sillonne les rues de la capitale désertée. Il en fait un livre qui témoigne de ce moment historique avec le concours de l’écrivain Arthur Dreyfus qui compose quelques haïkus.
Sous la présidence d’Éric Berger, président du CESER, la FNAIM a aussi attribué trois accessits à :
- Paris, empreintes secrètes, de Michel Huard ;
- Paris sous Paris, la ville interdite, de Gilles Thomas ;
- Le Paris des écrivains américains, de Ralph Schor.
Depuis 1973, le prix Haussmann récompense un ouvrage consacré à l’histoire, à l’habitat ou à l’urbanisme en Île-de-France.