Agenda du Grand Paris

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Les Jeudis de la Métropole – Réduire les nuisances sonores dans la métropole @ Maison du Portugal
Mar 31 @ 18:30 – 21:00
Les Jeudis de la Métropole - Réduire les nuisances sonores dans la métropole @ Maison du Portugal

Les Jeudis de la Métropole

Réduire les nuisances sonores dans la métropole : quels enjeux? Quelles pistes pour mieux vivre demain?

Maison du Portugal
29 avenue du Maréchal-Lyautey
à Villeneuve-le-Roi

Dans le cadre des démarches de dialogue avec les habitants de la Métropole du Grand Paris, les « Jeudis de la Métropole » se déroulent désormais dans les communes métropolitaines pour que les échanges soient au plus près des préoccupations de nos concitoyens.
Le
prochain se déroulera pour la première fois en direct et en public depuis une commune métropolitaine :
Ce jeudi 31 mars 2022 à 18h30 à Villeneuve-le-Roi
Sur le thème « Réduire les nuisances sonores dans la Métropole : Quels enjeux ? Quelles pistes pour mieux vivre demain ?»

Le débat sera également accessible depuis les comptes facebook (https://www.facebook.com/MetropoleGrandParis) et twitter (@GrandParisMGP).

Une vidéo est disponible ici : https://youtu.be/GfAqPqlw1PA

Avr
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Incursions sauvages – Exposition au musée de la Chasse et de la Nature @ Musée de la Chasse et de la Nature
Avr 12 @ 11:00 – Sep 11 @ 18:00
Incursions sauvages - Exposition au musée de la Chasse et de la Nature @ Musée de la Chasse et de la Nature

Incursions sauvages

Exposition de street art au musée de la Chasse et de la Nature

Du 12 avril au 11 septembre 2022

Le Musée de la Chasse et de la Nature a choisi sept street artistes pour investir ses salles et réaliser des oeuvres qui interrogeront notre cohabitation avec un monde animal perturbé.

L’exposition Incursions sauvages est une exposition qui s’inscrit dans l’actualité. Elle est née de l’observation, durant le récent confinement, de la porosité manifeste des frontières entre la nature et la ville et de la vision, partout sur la planète, de nombreux animaux sauvages égarés en milieu urbain ; des sangliers, des cerfs et des renards en Occident, plus spectaculaires, des félins en Inde, des ours et des éléphants en Chine. La confrontation est désormais fréquente et ce qui semblait à nos yeux, incongru, est devenu commun.

Ainsi, le Musée de la Chasse et de la Nature a choisi sept street artistes pour investir ses salles et réaliser des oeuvres qui interrogeront notre cohabitation avec un monde animal perturbé.

Si les artistes urbains font toujours du bestiaire, une source d’inspiration de leur travail, dans la continuité de leurs ainés, c’est aujourd’hui pour pointer les préoccupations de nos sociétés contemporaines. Traversés par les questions environnementales relatives à la sauvegarde de l’espèce animale, à sa cohabitation avec l’homme, ils abordent ici l’arrivée impromptue, telle qu’elle s’est récemment produite, d’un bestiaire sylvestre dans la ville – cerfs, sangliers ou blaireaux… En construisant la Cité, l’homme a défini un territoire dans lequel il règne presque sans partage. À l’extérieur de celle-ci, la campagne constitue un monde sauvage, où vivent ensemble animaux partiellement domestiqués et toute une faune indomptée, mise à mal par les actions et les comportements des hommes.

Au-delà du seul propos environnemental, l’exposition se veut également une métaphore de l’art urbain qualifié de sauvage à l’origine qui, le temps de l’exposition, investit le musée ; un art engagé, témoin et lanceur d’alerte. 

Incursions sauvages est organisée en diptyque avec l’exposition Plongées en eaux troubles au Centre d’art urbain, Fluctuart. Cette exposition en miroir interroge cette fois l’intrusion de l’homme dans l’écosystème de la Seine, bouleversant à son tour ses occupants. Les artistes sont là invités à s’emparer de la faune aquatique du fleuve : silure, anguille ou brochet… mais aussi à en imaginer les avatars mythologiques ou leurs mutations biologiques : sirènes, tritons ou monstres hybrides.

Sur les deux sites, c’est donc un large panorama de la scène street art qui se dévoile dans la diversité de ses techniques (spray, pochoir, collage ou installation) et de ses styles (graphique, fantastique ou hyperréaliste) au travers des œuvres d’une quinzaine d’artistes internationaux. Une rare opportunité de suivre la trace puis de s’immerger dans la faune du street art.

Informations pratiques

Musée de la Chasse et de la Nature
62 rue des Archives 75003 Paris
www.chassenature.org

Ouvert du mardi
au dimanche
de 11h00 à 18h00 (dernier accès 17h30)
Nocturnes les mercredis
jusquʼà 21h30 (dernier accès 21h00)

Mai
20
ven
Pas de vacances pour la médecine de ville – Conférence au Pavillon de l’Arsenal @ Pavillon de l'Arsenal
Mai 20 @ 09:30 – 11:30
Pas de vacances pour la médecine de ville - Conférence au Pavillon de l'Arsenal @ Pavillon de l'Arsenal

Pas de vacances pour la médecine de ville

Comment endiguer les déserts médicaux métropolitains existants et ceux qui émergent ? Quelles sont les attentes des soignants urbains ? Où implanter les nouveaux lieux de médecine de ville ? Quelles architectures pour ces nouveaux lieux du soin ?

Arnaud Dambrine et Emmanuel de France, Oglo architectes
Vendredi 20 mai de 9h30 à 11h30

Pas de vacances pour la médecine de ville

La sous-densité médicale dans le nord-est de la capitale et dans la majorité des communes de la Petite Couronne se conjugue aujourd’hui avec une perte de praticiens dans le centre et l’ouest de la métropole. Ici car les soignants ne trouvent pas les conditions pour s’implanter, là car ceux qui exerçaient arrêtent sans parvenir à transmettre le modèle de leur pratique individuelle souvent hébergée dans des architectures domestiques. Tant les lieux qui abritent les pratiques médicales d’hier que les programmes, rarement envisagés, dans les opérations nouvelles ne semblent répondre à la nécessaire accessibilité et fonctionnalité des locaux qu’aux attentes collaboratives et aux capacités économiques d’une nouvelle génération de professionnels de santé.
L’étude Pas de vacances pour la médecine de ville, portée par les architectes de l’agence Oglo, souhaite démontrer le potentiel d’autre lieux d’exercice. Enrichie par des témoignages de praticiens, de regards internationaux et d’un retour historique, elle démontre la nécessité de reconstruire un réseau de santé du quotidien fondée sur des projets d’architectures adaptées. Les lieux envisagés se définissent dans l’intervalle entre la médecine libérale et les pratiques hospitalières. La variété des appellations – cabinet médical, pôle santé, centre de santé, maison de santé pluridisciplinaire – révèle que le programme n’est pas encore tout à fait fixé mais offre un potentiel dont il faut aujourd’hui trouver la forme.
C’est tout l’enjeu de cette étude que d’essayer de définir ce modèle novateur, hybride, et mixte. Conçu pour répondre aux besoins de tous les jours comme aux périodes de crise sanitaire, des programmes de santé d’un nouveau genre s’affirmeraient comme un élément clé de la ville résiliente.
Juil
12
mar
Tribunal des Générations Futures : Faut-il abandonner la ville? @ Station F, Paris 13
Juil 12 @ 19:00 – 21:00
Tribunal des Générations Futures : Faut-il abandonner la ville? @ Station F, Paris 13

EpaMarne et EpaFrance célèbrent leurs anniversaires.

Mardi 12 juillet prochain à Station F, Paris 13

Cet évènement qui regroupera plus de 400 acteurs et parties prenantes, élus, partenaires publics et privés, notamment, viendra ponctuer la campagne « La Ville au Futur » lancée en janvier 2022.

A 19 h : Le Tribunal des Générations Futures avec Usbek et Rica sur le thème : « Faut-il abandonner la ville ? »

Un débat sous la forme d’un procès avec des personnalités publiques comme témoins, un jury tiré au sort et la Cour sur un format d’1h30.

Public : 350 personnes : les élus des deux Conseils d’administration, des 44 communes et 4 agglomérations, des vice-présidents de la région IDF, Le président du conseil départemental 77, et vice-présidents, des bureaux d’étude, des collaborateurs des services déconcentrés de l’Etat, des directeurs généraux d’établissements partenaires, des chefs d’entreprise, start-ups de Station F et les représentants des médias.

Un sujet qui s’intéresse à l’héritage de la Ville comme idéal, mais aussi comme structure pour comprendre les mutations auxquelles elle fait face et esquisser son avenir sur trois plans : comme modèle pour les aménageurs, comme lieu de vie pour les habitants, et comme champ d’action pour les politiques. En faisant le procès de la ville, nous ferons aussi celui des annonciateurs de l’âge d’or des campagnes.

Les témoins appelés à la barre :
–  Laurent Girometti – directeur général EpaMarne-EpaFrance
–  Jean-Laurent Cassely -Journaliste, chroniqueur, essayiste, spécialiste des modes de vie et des questions urbaines- co-auteur avec Jérôme Fourquet de « La France sous nos yeux »
–  Antoine Frey – PDG du groupe Frey – Pionnier des retail parks écologiques, 1er opérateur français spécialisé en requalification de zones commerciales périurbaines.
–  Corinne Lepage – avocate et ancienne ministre de l’Environnement dans les gouvernements d’Alain Juppé et députée européenne.

A 20h 30 : séquence institutionnelle et cocktail dînatoire
Accueil des invités et mot de bienvenue par :
– Yann Dubosc, Président du Conseil d’administration d’EpaMarne, Maire de Bussy-saint-Georges
– Thierry Cerri, Président du Conseil d’administration d’EpaFrance, Maire de Coupvray
– Laurent Girometti, Directeur général d’EpaMarne-EpaFrance
– Intervention du ministre en charge de la transition écologique et du logement (sous réserve)

Tout au long de cette séquence, la Start-up « 1001 rues » proposera une animation autour du serious game SiLaVille conçu avec EpaMarne, lauréat du prix TIGA, pour le projet « Construire le Futur – Habiter au Futur » porté par la région Ile-de-France.