La Vie HLM
Histoires d’habitant.e.s de logements populaires
Auberbilliers 1950 – 2000
Exposition du 16 octobre 2021 au 30 juin 2022
Présentée par : AMULOP – Association pour un Musée du Logement populaire
“La vie HLM. Histoires d’habitant·e·s de logements populaires. Aubervilliers, 1950-2000” est une exposition présentée in situ, dans la barre Grosperrin de la cité Émile-Dubois, communément appelée « les 800 » depuis sa construction, en 1957, à proximité immédiate du Fort d’Aubervilliers (métro ligne 7).
L’exposition propose une expérience immersive dans le quotidien et les parcours de quatre familles qui ont habité la cité des années 1950 aux années 2000, à travers la reconstitution de tout ou partie de leurs logements.
Au cours des deux visites que nous proposons, au choix, le récit de nos guides médiateur·trice·s met à la portée de tous une histoire incarnée d’Aubervilliers et de la France contemporaine vue des quartiers populaires.
CITÉ ÉMILE-DUBOIS
Allée Charles-Grosperrin
93300 AUBERVILLIERS
M° 7 Fort d’Aubervilliers
Tout public
(individuels et groupes)
Visites et ateliers pédagogiques du CM1 à l’université
Réservations sur : https://www.laviehlm-expo.com/
PHOTOGRAPHIES EN GUERRE
LA PROCHAINE EXPOSITION TEMPORAIRE DU MUSÉE DE L’ARMÉE
DU 6 AVRIL AU 24 JUILLET 2022
Paysages de ruines, chaos des combats, scènes de victoire ou de défaite, portraits de soldats ou de civils…. Les images de la guerre, et singulièrement des guerres passées, imprègnent notre mémoire collective, notamment par le prisme de la photographie. Certains clichés, tels que Raising the Flag on Iwo Jima (Joe Rosenthal) ou Le Drapeau rouge sur le Reichstag (Evgueni Khaldeï), sont même devenus des icônes mondiales. Mais qui sont ceux qui les ont produits ou diffusés ? Dans quelles conditions et pour qui ? Quels sont les ressorts de cette fabrique de l’image de la guerre depuis le milieu du XIXe siècle jusqu’à nos jours ?
Le musée de l’Armée présente pour la première fois une exposition consacrée non pas au conflit, mais à la représentation de celui-ci par la photographie, qui va bien au-delà du reportage de guerre. Depuis l’apparition de ce nouveau médium sur un champ de bataille au milieu du XIXe siècle, les rapports entre photographie et guerre sont complexes, relevant de pratiques plurielles (amateurs ou professionnelles), d’intentions et d’usages multiples (informer, documenter, prouver, convaincre, légitimer, tromper, dénoncer, témoigner, se souvenir…) dans les champs les plus variés (militaire, politique, économique, mais aussi social, culturel et esthétique).
Plaques de verre, planches, albums, portfolios, portraits, vues stéréoscopiques, petits et grands formats… Du Siège de Rome (1849) à l’actuelle guerre en Syrie, en passant par la guerre de Sécession, la guerre de 1870, les deux conflits mondiaux, la guerre du Vietnam, la Guerre Froide ou encore les guerres de décolonisation, le parcours réunit plus de 300 photographies faisant le récit d’une construction médiatique de la guerre à travers l’image. Photographes amateurs et professionnels y confrontent la singularité de leurs regards et de leurs objectifs, parmi lesquels ceux de Margaret Bourke-White, Gerda Grepp, Lee Miller, Robert Capa, Paul Corcuff, Marc Riboud, Don McCullin, Gilles Caron, Nick Ut, Yan Morvan, Laurent Van der Stockt, Richard Mosse, Émeric Lhuisset ou encore Michel Slomka. À travers eux sont en outre abordés des thèmes aussi divers que l’évolution de la presse au XXe siècle, le mythe du photojournaliste, la conquête de l’opinion publique, l’image privée, la théâtralisation de la mort, la véracité de l’image, l’éthique du photographe ou encore l’évolution de son statut et l’émergence de la notion d’auteur.
L’exposition Photographies en guerre est enfin l’occasion de mettre en avant les collections photographiques exceptionnelles du musée de l’Armée , riche de plus de 60 000 items, ainsi que sa politique d’acquisition active auprès de photographes contemporains, tels que Philippe de Poulpiquet ou Édouard Elias.
INFORMATIONS PRATIQUES
Hôtel national des Invalides
129, rue de Grenelle – 75007 Paris
01 44 42 38 77
musee-armee.fr
[email protected]
HORAIRES
Tous les jours de 10h à 18h Nocturne le mardi jusqu’à 21h
(en période d’exposition temporaire)
Le Musée est fermé les 1er mai, 25 décembre et 1er janvier
Mixité, flexibilité, évolutivité : quand le bâtiment s’ouvre aux usages multiples
Conférence organisée en partenariat avec ConstruirAcier
Accueillir à la fois des bureaux, des logements, une crèche ou tout autre activité et même ce que l’on pourrait imaginer comme autre usage… : à contre-pied de la traditionnelle conception des bâtiments construits sur le principe d’un lieu pour un usage, architectes et urbanistes ouvrent la voie au déploiement de projets créatifs répondant aux besoins des villes et de leurs usagers. Bâtiments multi-usages, édifices polyvalents, mixité fonctionnelle, flexibilité programmatique, évolutivité et réversibilité sont autant de solutions destinées à repenser la conception des espaces, combiner plusieurs utilisations dans un seul lieu tout en offrant la possibilité de réinventer les usages.
Conférence animée par Olivier Leclercq, architecte.
Au programme :
18h45 – Accueil à la Maison de l’architecture Ile-de-France
19h – Début de la conférence
Réversibilité ou Rêver-Civilité
• Anne Démians, architecte fondatrice, Architectures Anne Démians
Immeuble Pergolèse
• Jean-Lou Boisseau, associé, LOBJOY-BOUVIER-BOISSEAU Architecture
Exosquelette et changement de destination
• Olivier Laurent, associé, Atelier Cambium
Le Mattern Lab
• Guillaume Aubel, architecte fondateur, Beluga Studio
20h – Questions / Réponses
20h30 – Cocktail
Crédit photo : Villa Rohan, Atelier Cambium ©Ivan Mathie
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Entrée libre
Maison de l’architecture Ile-de-France – Chapelle du couvent des Récollets
148 rue du Faubourg Saint-Martin 75010 Paris
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