Agenda du Grand Paris

Sep
1
mar
XXHL, GIGA TOURS ET MEGA PONTS – Exposition @ Cité des sciences et de l’industrie
Sep 1 2020 – Mar 7 2021 Jour entier
XXHL, GIGA TOURS ET MEGA PONTS - Exposition @ Cité des sciences et de l’industrie

Dédiée à la construction « hors norme », cette exposition de 1000 m2 immersive et majoritairement numérique, sensibilise le public aux prouesses techniques et aux savoir-faire développés par les ingénieurs, les architectes et les constructeurs.

De la Burj Kalifa au viaduc de Millau ou encore au projet de rénovation de la Tour Montparnasse, chacun des édifices pris en exemple illustre une problématique d’ingénierie. Résistance des matériaux et des structures, techniques des fondations, équilibre des forces et analyse des perfor- mances énergétiques… l’exposition permet aux visiteurs de comprendre et d’appréhender les enjeux de la construction pour les années à venir.

En partenariat avec l’École des Ponts Paris Tech. Avec le soutien de Setec TPI.
Ligne de programmation : Les mains dans le cambouis.

Oct
9
ven
LE RIRE DE CABU – Exposition à l’Hôtel de Ville de Paris @ Salle Saint-Jean - Hôtel de Ville de Paris
Oct 9 – Déc 19 Jour entier
LE RIRE DE CABU - Exposition à l'Hôtel de Ville de Paris @ Salle Saint-Jean - Hôtel de Ville de Paris

LE RIRE DE CABU

EXPOSITION SALLE SAINT-JEANÀ L’HÔTEL DE VILLE DE PARIS

DU 9 OCTOBRE AU 19 DÉCEMBRE 2020

Anne Hidalgo et Véronique Cabut ont souhaité rendre un hommage joyeux à Cabu qui fut l’un des plus talentueux et populaires dessinateurs de presse de sa génération.

Par sa liberté d’esprit, par son humanisme et par les convictions qu’il a portées à travers ses dessins, Cabu a été un observateur amusé mais aussi un chroniqueur sévère et visionnaire de notre société et de nous tous ! Faire rire, faire réfléchir, telle est la mission de Cabu et les dessinateurs de presse sont les garants courageux de la liberté d‘expression et contribuent à préserver la santé de nos démocraties lorsqu’elle est menacée.

Il existe un lien profond et enchanté entre Paris et Cabu et même au-delà entre la France et Cabu. Avec cette première grande rétrospective autour de l’oeuvre de Cabu depuis son assassinat dans les locaux de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015, les Français pourront retrouver l’œuvre de celui qui a su si bien croquer notre époque.

À travers 350 dessins originaux, les visiteurs pourront prendre la mesure d’un esprit et d’un talent exceptionnels. Ces œuvres ont accompagné pendant plus de 60 ans des générations de lecteurs et de téléspectateurs.

Le parcours de l’exposition est organisé autour de 8 thèmes d’inspiration :

1. Les personnages de Cabu (Grand Duduche, le Beauf, Dorothée,Catherine, l’Adjudant Kronenbourg…)
2. La France de Cabu (société, consommation, les femmes, les jeunes, Paris, les villes)
3. Les présidents de Cabu (de Macron à Auriol)
4. Les « people » de Cabu (de Johnny à Zemmour)
5. Les combats de Cabu (écologie, pacifisme, liberté d’expression)
6. Le panthéon de Cabu (les maîtres incontournables et les copains inoubliables)
7. La méthode à Cabu (pour dessiner comme lui)
8. La Trèfle de Cabu (sa voiture)

Un espace spécialement aménagé pour le dessin au sein de l’exposition permettra à tous, petits et grands, de s’essayer à la caricature. L’accueil du jeune public et du public scolaire sera privilégié avec l’organisation d’ateliers autour du dessin de presse et de la caricature, la mise à disposition d’un livret-jeu pour les 7-12 ans et d’un livret pour les enseignants permettant de préparer les visites scolaires.

Un catalogue de l’exposition est disponible (Éditions Michel Lafon, 192 pages – 20 €).
Le commissariat a été confié à Jean-François Pitet, expert de l’œuvre de Cabu et qui, depuis 5 ans, accompagne Véronique Cabut dans le travail de mémoire autour de son époux.
La scénographie est réalisée par Anne Levacher et Sylvie Coutant.
Partenaires de l’exposition :
Mastercard, Canson, Le Bonbon, Paris Match, RATP, France Inter

Oct
13
mar
Journée des territoires franciliens pour l’égalité @ Centre Hubertine Auclert
Oct 13 @ 09:00 – 17:00

L’égalité femmes-hommes est devenue un enjeu incontournable des politiques publiques des collectivités, constate le Centre Hubertine Auclert à l’occasion de sa 5ème journée fédérant le réseau Territoires Franciliens pour l’Egalité (TFE), le 13 octobre prochain.

Depuis le lancement du réseau Territoires Franciliens pour l’Égalité en 2013, le Centre Hubertine Auclert accompagne les collectivités de tous les niveaux (villes, départements, intercommunalités, région) dans l’analyse des inégalités femmes-hommes sur leur territoire, et dans la mise en place d’actions pour les réduire. Fort d’un réseau grandissant d’une soixantaine de collectivités de toutes tailles, le Centre Hubertine Auclert observe leur engagement croissant pour l’instauration de politiques luttant contre les inégalités de genre.

« Les politiques pour l’égalité sont transpartisanes. Le clivage gauche-droite n’a plus lieu d’être quand il s’agit de permettre aux femmes comme aux hommes de bénéficier des politiques publiques à égalité. Nous sommes ravies de constater que des collectivités toujours plus nombreuses s’emparent du sujet, à commencer par la région Île-de-France », déclare Marie-Pierre Badré, présidente du Centre Hubertine Auclert et déléguée spéciale à l’égalité femme-hommes de la région Île-de-France. Ainsi, de douze collectivités membres en 2015, le réseau Territoires Franciliens pour l’Egalité (TFE) passera à soixante-six le 8 octobre 2020. Le Centre Hubertine Auclert constate également que de nombreuses villes ont créé une délégation en faveur de l’égalité femmes-hommes au sein de leur exécutif.

Plusieurs lois ces quinze dernières années ont également réaffirmé le rôle des collectivités dans la réduction des inégalités femmes-hommes, en tant que structure employeuse et créatrice de politiques publiques. La loi du 4 août 2014 sur l’égalité réelle entre les femmes et les hommes a notamment permis aux collectivités d’intégrer l’égalité de façon transversale aux politiques sectorielles, qui impactent la vie des femmes et des hommes. Le Centre Hubertine Auclert les accompagne entre autres dans la mise en œuvre de cette loi. Il a également participé à visibiliser les enjeux d’un aménagement des espaces publics accessibles pour toutes et tous, dès le plus jeune âge, à travers son rapport « Femmes et espaces publics ».

UNE 5ÈME JOURNÉE TFE POUR S’INSPIRER ET ÉCHANGER AVEC SES PAIRS

À travers cette 5ème édition de la journée du réseau TFE, organisée en partenariat avec le CNFPT, le Centre Hubertine Auclert propose un cadre précieux d’échanges et de formation pour les collectivités nouvellement élues ou ré-élues. Au sein de l’hémicycle du Conseil régional d’Île-de-France, la journée permettra de se fédérer, de partager des bonnes pratiques inspirantes pour les nouvelles équipes municipales, et aussi de se former sur l’actualité législative, notamment avec la loi de transformation de la fonction publique du 6 août 2019 sur l’égalité professionnelle au sein des collectivités. Un atelier d’échanges y sera consacré. Un autre moment fort concernera le bilan des dernières élections municipales concernant la parité. Le bilan est encore peu glorieux : seules 20% des maires sont des femmes, et 12% seulement des intercommunalités françaises sont aujourd’hui présidées par des femmes.

Mai
29
sam
Énergies Désespoirs — Un monde à réparer – Exposition au CentQuatre-Paris
Mai 29 – Août 1 Jour entier
Énergies Désespoirs — Un monde à réparer - Exposition au CentQuatre-Paris

Et si nous commencions par réparer le monde ? : exposition manifeste Énergies Désespoirs — Un monde à réparer [in situ]

L’exposition manifeste Énergies Désespoirs — Un monde à réparer, fruit d’un dispositif collaboratif entre Encore Heureux, l’École urbaine de Lyon et Bonnefrite, est composée d’une forêt de 120 affiches peintes, prenant forme dans le grand volume de la halle Aubervilliers. Un espace que le public est amené à parcourir librement afin de découvrir l’œuvre dans l’ordre qu’il souhaite.
Il est donc possible de venir pour s’immerger dans l’installation, mais aussi de la découvrir en passant simplement dans la halle. Chaque élément comporte deux faces, l’une « énergies », l’autre « désespoir », cette forêt peut être parcourue dans deux sens différents.
Ce dispositif offre ainsi deux sens de lecture, mais la quantité des sujets traités permet également de créer correspondances et dialogues entre les différentes peintures.
Les peintures varient selon deux formats différents, allant d’1,5 m de hauteur, jusqu’à 2,5 m pour les plus grandes. Chaque peinture originale est accompagnée d’un cartel venant compléter le propos.  Ainsi le dessin, perçu au premier abord à une certaine distance, ouvre au spectateur un monde perceptif et sensible. Puis en s’approchant, le cartel vient détailler les faits à l’origine du dessin, et permet au visiteur d’en apprendre davantage s’il le souhaite.  Ce duo dessin-texte est un aspect fondamental de l’exposition, car il permet d’aborder de grands enjeux actuels de manière factuelle et rigoureuse, tout en permettant au spectateur de sortir de la paralysie des faits grâce à l’énergie créative transmise par le dessin.
C’est donc un véritable cheminement, qui est proposé : le caractère immersif de l’installation plonge le spectateur dans un monde écrit et dessiné, qui lui permettra de se projeter à la fois dans des faits relatifs à l’anthropocène, mais aussi de s’ouvrir aux imaginaires moteurs des mondes d’après.
Exposition manifeste ÉNERGIES DÉSESPOIRS — Un monde à réparer, exposition coproduite par CENTQUATRE-PARIS – École urbaine de Lyon – Encore Heureux
CENTQUATRE-PARIS
5 rue Curial, 75019 Paris
29 mai > 01 août 2021
Exposition gratuite, sur réservation obligatoire : 
Catalogue ÉNERGIES DÉSESPOIRS — Un monde à réparer dans la collection “À partir de l’Anthropocène” coéditée par les Éditions deux-cent-cinq et l’École urbaine de Lyon
Juin
4
ven
AGIR POUR LE VIVANT – Rendez-vous parisiens
Juin 4 – Juin 6 Jour entier
AGIR POUR LE VIVANT - Rendez-vous parisiens

AGIR POUR LE VIVANT
Rendez-vous parisiens du vendredi 4 au dimanche 6 juin 2021

« Nous sommes plus que jamais confrontés à la sensibilité et à la fragilité de la Terre. De toutes parts se multiplient les initiatives, les réflexions et les actions qui tentent de faire naître une nouvelle conscience en faveur de la biodiversité et du vivant. Agir pour le vivant entend présenter des solutions, oser des expérimentations et contribuer à l’écriture de nouveaux récits. » Francoise Nyssen,Jean-Paul Capitani, Anne-Sylvie Bameule et Alain Thuleau– Fondateurs.trices d’Agir pour le vivant.

En août 2020 se tenait à Arles à l’initiative d’Actes Sud et de Comunala première édition du festival AGIR POUR LE VIVANT, le rendez-vous qui inscrit le vivant au cœur des enjeux de notre société et qui vise à sensibiliser et mobiliser un large public. Pendant 1 semaine, le festival a inventé un nouvel espace de réflexion et d’échanges au-delà des idéologies en conjuguant les approches, en croisant les compétences et les propositions d’auteurs, de philosophes, de scientifiques, de botanistes, d’agronomes, d’herboristes, d’entrepreneurs et de militants écologistes qui tentent de renouveler la grande histoire de la relation de l’homme avec la nature et notre façon d’habiter le monde aujourd’hui.

La 2e édition de ce rendez-vous d’été à Arles aura lieu du 22 au 29 août 2021 sur le thème Territoires Vivants. Agir pour le Vivant ce sont aussi des développements et des projets originaux toute l’année pour favoriser les réflexions dans la durée, faire intervenir le plus grand nombre d’acteurs de ces transitions, et proposer de nombreux formats à tous les publics.

C’est dans ce cadre qu’AGIR POUR LE VIVANT organise des rendez-vous du 4 au 6 juin 2021 à Paris.
Agir pour le vivant a souhaité s’associer à un projet exceptionnel, le Parlement des liens, créé à l’initiative des éditions Les liens qui libèrent, pour témoigner d’une véritable révolution dans le domaine des idées. À Paris également avec l’École des Beaux-Arts, étudiants, professeurs et invités ont imaginer dans un travail collectif des af- fiches qui marqueront la mémoire collective autour des enjeux du vivant. Ces affiches feront l’objet d’une sélection et seront visibles sur les murs de Paris en juin ainsi qu’à Arles en août. Agir pour le Vivant à Paris, c’est aussi la fameuse Radio Arbres de la comédienne Laetitia Dosch, des signatures dans des librairies, une résidence de travail sur l’Atlas du Grand Paris Sauvage au Pavillon de l’Arsenal, des interventions dans des collèges avec Agir pour le Vivant Junior et des ateliers pour trouver des modes d’emploi pour les entreprises.

INFORMATIONS PRATIQUES
https://www.agirpourlevivant.fr/

Oct
23
sam
Musée des égouts – Réouverture @ Musée des égouts
Oct 23 @ 10:00 – 17:00
Le Musée des égouts, fermé au public depuis 2018, a connu une complète révision de sa muséographie. Ce lieu, anciennement Visite publique des Égouts, se transforme en véritable Musée dans lequel les visiteurs pourront découvrir l’histoire des égouts depuis leurs origines jusqu’à l’actuel réseau d’égouts, en totale immersion 6 mètres sous terre. Ce musée est aussi un site industriel en activité, ce qui lui donne un caractère unique.

À proximité de la Seine, un nouveau bâtiment marque désormais l’entrée de ce musée sous terre. L’architecture du site a été modernisée et permet dorénavant l’accès aux visiteurs à mobilité réduite.

Le visiteur met ses pas dans ceux de l’égoutier et découvre le travail de curage et d’entretien, primordiaux dans les égouts. Il prend connaissance des enjeux de la régulation des eaux et de leur traitement au service de la protection de l’environnement, du fleuve et de la biodiversité tout en cheminant au-dessus d’égouts en fonctionnement.

Il découvre tout au long du parcours muséographique des maquettes, des animations pédagogiques interactives et multimédias qui aideront petits et grands, à saisir de manière ludique les grands enjeux de l’assainissement parisien d’hier à demain, en mettant en perspective sa contribution à l’adaptation de la Ville au changement climatique et à la baignade en Seine en héritage des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.

Pour Colombe Brossel, adjointe à la Maire de Paris en charge de l’assainissement : « La Ville se réjouit de la réouverture de ce Musée qui sera un moyen de mettre en lumière le monde du dessous, la contribution essentielle des égoutiers au bon fonctionnement de la ville tout en présentant les enjeux urbains du 21e siècle de l’assainissement tels que l’adaptation de la Ville au changement climatique et la baignade ».

https://musee-egouts.paris.fr/