Agenda du Grand Paris

Avr
2
sam
Duography – Atelier Grognard
Avr 2 @ 14:53 – Juil 3 @ 15:53
Duography - Atelier Grognard

« DUOGRAPHY » LEK ET SOWAT INVESTISSENT LE 92 !

Le street-art s’invite à Rueil-Malmaison

Du 2 avril au 3 juillet, la ville de Rueil-Malmaison offre aux deux graffeurs parisiens Lek et Sowat leur première rétrospective, « Duography ». Une carte blanche dans un lieu de 650 mètres carrés : l’atelier Grognard (ancienne fabrique de plaques de cuivre, de zinc et d’étain construite au XIXe siècle).

Du « Mausolée » au Centre Pompidou, de la Villa Médicis aux tunnels de métro, l’exposition est l’occasion de découvrir l’itinéraire des deux explorateurs urbains.

Films, tirages, installations, « Duography » dévoile toute l’étendue de leur savoir-faire et revient sur d’anciens travaux.

« Duography », exposition de Lek & Sowat à l’atelier Grognard – Rueil-Malmaison du 2 avril au 3 juillet

Avr
6
mer
HÉROÏNES ROMANTIQUES – Musée de la vie romantique @ Musée de la vie romantique
Avr 6 @ 10:00 – Sep 4 @ 18:00
HÉROÏNES ROMANTIQUES - Musée de la vie romantique @ Musée de la vie romantique

HÉROÏNES ROMANTIQUES

Exposition – Musée de la vie romantique

Du 6 avril au 4 septembre 2022

Qui sont les héroïnes du romantisme et comment sont-elles représentées dans les arts au XIXe siècle ? Le musée de la Vie romantique explore ces questions en ouvrant, le 6 avril 2022, l’exposition Héroïnes romantiques.

Grâce à une sélection d’une centaine d’œuvres – peintures, sculptures, manuscrits et objets
d’art -, l’exposition invite le public à découvrir des héroïnes revisitées ou inventées par le
romantisme : Héroïnes du passé, Héroïnes de fiction et Héroïnes en scène. Ce parcours en trois temps permet de tisser des liens entre les Beaux-arts, la littérature et les arts de la scène qui jouent au XIXe siècle un rôle majeur dans la diffusion d’un héroïsme féminin aux accents tragiques.

Sappho, Jeanne d’Arc, Marie Stuart, Héloïse, Juliette, Ophélie ou encore Atala : ces femmes, dont les récits dramatiques sont connus, ancrent dans l’imaginaire collectif de l’époque une certaine vision du féminin. Dans les Beaux-arts, comme dans la littérature ou la musique, l’héroïne romantique vit des passions fortes, éprouve le désespoir et la mélancolie, aime et meurt d’aimer. Les artistes romantiques, portés par le goût du drame, font de ces destinées exceptionnelles des sujets pour leurs compositions. Les œuvres choisies d’Eugène Delacroix, Anne-Louis Girodet, Théodore Chassériau, Antoine-Jean Gros, Léon Cogniet ou Léopold Burthe, figurent le plus souvent ces femmes diaphanes et fragiles, dénudées, résignées face à un destin inéluctable. Si la création de l’époque est majoritairement l’œuvre d’artistes masculins, l’exposition s’intéresse également aux femmes du XIXe siècle qui mettent en scène des héroïnes dans leurs œuvres. Sont ainsi mises à l’honneur les artistes Marie d’Orléans, Félicie de Fauveau, Frédérique O’Connell, les écrivaines Madame de Staël et George Sand ou encore les interprètes Harriet Smithson, Rachel et Mademoiselle Mars, qui portent à la scène les grands rôles féminins de l’époque. En se saisissant de ce sujet encore peu exploré, l’exposition interroge le regard sur les femmes diffusé par le mouvement romantique, dans une société qui leur laisse alors peu de place.

Cette sélection d’œuvres est enrichie d’une médiation à destination du public familial et scolaire, de contenus sonores donnant vie à des textes d’époque ou encore d’une projection audiovisuelle qui questionne la postérité contemporaine de ces héroïnes. Une riche programmation culturelle accompagne le propos : un podcast sur la fonction jouée  par ces représentations réalisé en partenariat avec Julie Beauzac – créatrice de podcasts sur l’histoire de l’art -, un cycle de concerts de compositrices romantiques proposé par le Conservatoire à rayonnement régional de Paris ou encore un concert de Chloé Mons et Hélène Singer intitulé « Désirs et mythologies féminines ».
Sous la forme d’un ouvrage collectif à entrées thématiques, le catalogue qui accompagne
l’exposition développe un éclairage pluridisciplinaire interrogeant les représentations des
héroïnes romantiques en mêlant histoire et histoire de l’art.

Musée de la Vie romantique
Hôtel Scheffer-Renan
16, rue Chaptal – 75009 PARIS Tél. 01.55.31.95.67

Ouverture
Du mardi au dimanche de 10h à 18h, fermé les lundis et le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre

Juin
23
jeu
Sors de ta réserve #1 – FRAC Ile-de-France @ Frac Île-de-France, Les Réserves
Juin 23 @ 14:00 – Oct 1 @ 19:00
Sors de ta réserve #1 - FRAC Ile-de-France @ Frac Île-de-France, Les Réserves

Sors de ta réserve #1

FRAC Île-de-France

Du 23 juin au 1er octobre 2022

Réouverture des Réserves à Romainville

Le nouveau bâtiment du Frac Île-de-France à Romainville, Les Réserves, ouvre ses portes au public mercredi 22 juin 2022 de 18h à 22h avec l’inauguration du 1er accrochage des œuvres choisies par le public via l’application mobile Sors de ta réserve !

La collection du Frac est désormais installée dans ce nouveau lieu qui permet d’optimiser la conservation et la gestion des œuvres et de les diffuser le plus largement possible grâce à Sors de ta réserve !, un projet participatif totalement inédit.

En présentant pour la première fois les œuvres de la collection choisies directement par le public via la nouvelle application mobile Sors de ta réserve !(sorsdetareserve.com, application lancée le 9 mai), le Frac Île-de-France transforme l’expérience du visiteur. Le public devient en effet pleinement acteur de la vie de la collection en déterminant quelles seront les œuvres présentées dans les espaces du bâtiment ouverts au public (un quart de la surface totale). Ce premier accrochage Sors de ta réserve #1 sera présenté jusqu’au 1er octobre. Cinq accrochages par an sont prévus et ces sélections effectuées par le public individuel via l’application seront complétées par des accrochages proposés par des groupes (issus du champ scolaire, social, universitaire…).

Informations pratiques

Du 23 juin au 1er octobre 2022 (fermeture estivale du 27 juillet au 3 septembre)
Frac Île-de-France, Les Réserves
43 rue de la Commune de Paris
93230 Romainville
Tél. : 01 76 21 13 33
https://www.fraciledefrance.com/reouverture-en-2022/
Ouvert au public du mercredi au samedi de 14h à 19h
Entrée gratuite

 

Jan
14
dim
24e traversée de Paris hivernale des véhicules d’époque le dimanche 14 janvier 2024 @ Château de Vincennes
Jan 14 @ 07:30 – 14:00
24e traversée de Paris hivernale des véhicules d’époque le dimanche 14 janvier 2024 @ Château de Vincennes

Pour cette 24e édition qui couvrira une trentaine de kilomètres, l’association Vincennes en Anciennes – organisatrice des Traversées de Paris – plongera 700 équipages en véhicules de plus de 30 ans dans l’histoire parisienne des constructions métalliques. Avant le Second Empire, le fer dans l’architecture parisienne n’était pas une évidence. La pierre dominait dans les constructions. Il a fallu le talent novateur de personnalités telles que Baltard, Eiffel et bien d’autres pour lui donner ses lettres de noblesse. En même temps que progresse la Révolution industrielle, le métal est l’un des matériaux qui a transformé l’architecture à Paris. Il est utilisé pour sa solidité et sa résistance au feu : gares, ponts, halles, passages couverts et bâtiments des expositions universelles fleurissent dans la capitale. La Traversée de Paris mettra ainsi en lumière certains de ces ouvrages d’art ou bâtiments, par exemple les Ponts de l’Europe, Mirabeau ou de Grenelle. Le premier offre une vue sur la construction de verre et de fer de la gare Saint-Lazare, le second sur la Tour Eiffel et le troisième sur l’une des six répliques parisiennes de la Statue de la Liberté d’Auguste Bartholdi qui se trouve sur l’Île aux Cygnes. Réduction au quart de celle de New-York, elle a été offerte à la France par les citoyens français établis aux États-Unis et inaugurée le 4 juillet 1889 lors de l’exposition Universelle à l’occasion du centenaire de la Révolution française. Originellement placée face à la Tour Eiffel, elle tournait le dos aux États-Unis. Ce n’est que depuis l’Exposition Universelle de 1937 qu’elle regarde vers l’ouest. La statue originale est sortie en 1885 des ateliers de Gustave Eiffel, rue de Chazelles (où passera également la Traversée). Du haut de ses 312 mètres, la Dame de fer contemplera le passage des voitures. Créée pour l’Exposition Universelle de 1889, elle est l’un des emblèmes de la capitale. Depuis, elle a accueilli 200 millions de visiteurs. Si elle fait l’unanimité aujourd’hui, elle n’a pas eu que des amis lors de sa création.

Croiser des véhicules anciens (autos, motos, vélos, utilitaires légers, tracteurs, bus et camions) dans les rues de Paris est toujours un moment de grâce. Le temps est suspendu lors de cette balade atypique. Un temps désordonné où les avant-guerre croisent les Youngtimers, où les tracteurs investissent les rues de la capitale, où les Solex côtoient les Dollar et side-cars… Les marques disparues refont surface tandis que les Citroën, Peugeot, Renault, Volkswagen et autres offrent un échantillon de ce qu’elles ont été au fil des époques. Pour la première fois, la Traversée de Paris accueillera 10 camions anciens dont un porte-char ATCM modèle S 32215. Toujours au rendez-vous les bus Renault des années 30 embarquent au chateau de Vincennes un public curieux de tenter une expérience hors du commun sur des sièges en bois ou sur la plateforme livrée aux quatre vents.
Vincennes en Anciennes nous offre cette année un parcours inédit qui surprendra les participants, délaissant les points de passages habituels au profit d’autres lieux moins souvent empruntés. La Traversée de Paris entend également valoriser le patrimoine architectural de la capitale. » explique Jacques D’Andréa, Président de Vincennes en Anciennes.

Rendez-vous dimanche prochain et couvrez-vous bien !