Agenda du Grand Paris

Oct
9
ven
LE RIRE DE CABU – Exposition à l’Hôtel de Ville de Paris @ Salle Saint-Jean - Hôtel de Ville de Paris
Oct 9 – Déc 19 Jour entier
LE RIRE DE CABU - Exposition à l'Hôtel de Ville de Paris @ Salle Saint-Jean - Hôtel de Ville de Paris

LE RIRE DE CABU

EXPOSITION SALLE SAINT-JEANÀ L’HÔTEL DE VILLE DE PARIS

DU 9 OCTOBRE AU 19 DÉCEMBRE 2020

Anne Hidalgo et Véronique Cabut ont souhaité rendre un hommage joyeux à Cabu qui fut l’un des plus talentueux et populaires dessinateurs de presse de sa génération.

Par sa liberté d’esprit, par son humanisme et par les convictions qu’il a portées à travers ses dessins, Cabu a été un observateur amusé mais aussi un chroniqueur sévère et visionnaire de notre société et de nous tous ! Faire rire, faire réfléchir, telle est la mission de Cabu et les dessinateurs de presse sont les garants courageux de la liberté d‘expression et contribuent à préserver la santé de nos démocraties lorsqu’elle est menacée.

Il existe un lien profond et enchanté entre Paris et Cabu et même au-delà entre la France et Cabu. Avec cette première grande rétrospective autour de l’oeuvre de Cabu depuis son assassinat dans les locaux de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015, les Français pourront retrouver l’œuvre de celui qui a su si bien croquer notre époque.

À travers 350 dessins originaux, les visiteurs pourront prendre la mesure d’un esprit et d’un talent exceptionnels. Ces œuvres ont accompagné pendant plus de 60 ans des générations de lecteurs et de téléspectateurs.

Le parcours de l’exposition est organisé autour de 8 thèmes d’inspiration :

1. Les personnages de Cabu (Grand Duduche, le Beauf, Dorothée,Catherine, l’Adjudant Kronenbourg…)
2. La France de Cabu (société, consommation, les femmes, les jeunes, Paris, les villes)
3. Les présidents de Cabu (de Macron à Auriol)
4. Les « people » de Cabu (de Johnny à Zemmour)
5. Les combats de Cabu (écologie, pacifisme, liberté d’expression)
6. Le panthéon de Cabu (les maîtres incontournables et les copains inoubliables)
7. La méthode à Cabu (pour dessiner comme lui)
8. La Trèfle de Cabu (sa voiture)

Un espace spécialement aménagé pour le dessin au sein de l’exposition permettra à tous, petits et grands, de s’essayer à la caricature. L’accueil du jeune public et du public scolaire sera privilégié avec l’organisation d’ateliers autour du dessin de presse et de la caricature, la mise à disposition d’un livret-jeu pour les 7-12 ans et d’un livret pour les enseignants permettant de préparer les visites scolaires.

Un catalogue de l’exposition est disponible (Éditions Michel Lafon, 192 pages – 20 €).
Le commissariat a été confié à Jean-François Pitet, expert de l’œuvre de Cabu et qui, depuis 5 ans, accompagne Véronique Cabut dans le travail de mémoire autour de son époux.
La scénographie est réalisée par Anne Levacher et Sylvie Coutant.
Partenaires de l’exposition :
Mastercard, Canson, Le Bonbon, Paris Match, RATP, France Inter

Oct
16
ven
C’EST DU PROPRE ! L’HYGIENE ET LA VILLE DEPUIS LE XIXè SIECLE – Exposition au MUS @ Musée d'Histoire Urbaine et Sociale de Suresnes
Oct 16 2020 – Oct 3 2021 Jour entier
C'EST DU PROPRE ! L'HYGIENE ET LA VILLE DEPUIS LE XIXè SIECLE - Exposition au MUS @ Musée d'Histoire Urbaine et Sociale de Suresnes

A l’occasion de sa réouverture, le Mus-Musée d’Histoire Urbaine et Sociale de Suresnes prolonge jusqu’au 3 octobre 2021 son exposition C’est du propre ! qui retrace l’histoire de l’hygiénisme dans les villes de 1802 à nos jours. Directement liées au développement de maladies au début du XIXe siècle, ces théories ont modifié l’espace urbain et les pratiques d’hygiène. Un thème revenu au cœur de l’actualité depuis plus d’un an…

Avec la crise sanitaire de la Covid-19, la question de l’hygiénisme est revenue au premier plan des grands enjeux sociétaux. Pour lutter contre sa propagation, l’espace urbain s’est adapté (sens de circulation des passants dans les lieux publics, points de distribution de gels…) et les populations sont sensibilisées et modifient leurs comportements (prévention, distribution et port de masques obligatoire…). Si ces grands changements ont bousculé notre quotidien et l’espace public, nos villes ont déjà connu de grandes épidémies qui ont bouleversé leur architecture : c’est cette histoire que dépeint l’exposition C’est du propre ! L’Hygiène et la ville depuis le XIXe siècle.

Le MUS, spécialisé dans l’urbanisme social, possède un très large fond dédié aux évolutions sanitaires. Dès 2019, émerge l’idée, rattrapée depuis par l’actualité,de créer une exposition sur la thématique de l’hygiène.

Au début du XIXe siècle, le constat est sans appel, l’explosion démographique des villes et leur insalubrité engendrent de nouvelles épidémies : typhoïde, tuberculose, choléra touchent une grande partie de la population et n’épargnent personne. Si les avancées médicales n’apportent pas encore de remèdes aux virus, une réflexion est menée afin d’en limiter les causes. Ainsi, les processus de prévention de l’apparition d’une maladie sont-ils au cœur de la recherche médicale.

Après l’observation des modes de vie et la découverte des microbes, des certitudes apparaissent : le manque d’hygiène est mauvais pour la santé, l’humidité et les lieux sombres favorisent le développement des maladies. Aux grands maux les grands remèdes : penseurs, scientifiques, philanthropes et politiques se concertent et leurs réflexions se fédèrent dans le mouvement hygiéniste afin de contrecarrer la propagation des épidémies.

Chantier pharaonique, le combat contre la maladie va passer autant par l’assainissement de la ville (tout-à-l’égout, eau potable, lumière dans les logements…) que par l’éducation des populations (apprentissage des principes d’hygiène développés par les scientifiques, campagnes de sensibilisation…).

La lutte contre les épidémies ne se joue donc pas seulement dans le cadre restreint du foyer, elle prend également place dans l’espace public, comme en témoignent les grands travaux du siècle dernier.

L’exposition « C’est du propre ! L’Hygiène et la ville depuis le XIXe siècle » a pour vocation de s’inscrire dans la tradition hygiéniste. Accessible à tous, elle dispose de nombreux dispositifs de médiation comme leChar d’Hygie, réinterprétation des camions d’hygiène qui circulaient dans les villes au début du XXe siècle afin d’éduquer les populations. Il retrouve aujourd’hui son ancienne fonction puisqu’il permet de sensibiliser les plus jeunes tout en s’amusant.

Cette exposition n’est pas constituée uniquement des œuvres du musée suresnois, et elle a généré la découverte de trésors oubliés comme une maquette d’immeuble salubre en coupe présentée lors de l’Exposition universelle de 1889 retrouvée par le Musée des arts et métiers dans ses réserves et restaurée pour l’occasion. Un éclairage unique et ludique à la découverte de l’histoire de l’hygiène dans la ville.

Jusqu’au 3 octobre 2021
1 place de la gare de Suresnes-Longchamp 92150 Suresnes
L’accès en visite libre sera gratuit jusqu’au dimanche 1 août 2021

● L’accès au musée et les visites se feront sur réservation
● Retrouvez l’agenda des activités sur le site web du MUS

Réservation obligatoire :
Pour les visites libres, directement en ligne avec le lien suivant : https://outlook.office365.com/owa/calendar/MUSMusedHistoireUrbaineetSocialedeSuresnes@ville- suresnes.fr/bookings/
Pour les activités culturelles et éducatives au : 01 41 18 37 37 ou à l’adresse [email protected]
Mode de paiement privilégié sans contact
Port du masque obligatoire pour les visiteurs ainsi que pour le personnel Fermeture annuelle du 2 au 15 août

 

Oct
17
sam
A la découverte de l’architecture contemporaine du Campus de Paris-Saclay  @ Campus de Paris-Saclay
Oct 17 @ 11:00 – 16:00

A la découverte de l’architecture contemporaine du Campus de Paris-Saclay

Dans le cadre des Journées nationales de l’architecture 2020, l’Etablissement public d’aménagement (EPA) Paris-Saclay propose au grand public, des balades urbaines au sein des deux quartiers du Campus urbain.

Le samedi 17 octobre 2020
11H – 13H : Visite du quartier de l’Ecole polytechnique
14H – 16H : Visite du quartier de Moulon

Programme :

11h – 13h : visite du quartier de l’Ecole polytechnique

et notamment du parc naturaliste de Michel Desvigne, la place Marguerite Perey, l’ENSAE ParisTech par CAB Architectes, EDF Lab Paris-Saclay par Francis Soler, EDF Campus par Emmanuel Combarel et Dominique Marrec architectes, Télécom Paris par Grafton Architects (Pritzker 2020), la  résidence Alexandre Manceau par 51N4E et Bourbouze Graindorge, la résidence étudiante Jean d’Ormesson par l’AUC, la résidence étudiante Kley Paris-Saclay par XDGA – FAA, l’Institut Photovoltaïque d’Ile-de-France par Jean Philippe Pargade, le Centre de Nanosciences et de Nanotechnologies par Michel Rémon.

14h – 16h : visite du quartier de Moulon

avec notamment le Parc de Moulon par West8,  les deux bâtiments de CentraleSupélec par OMA et Gigon-Guyer, l’ENS Paris-Saclay par Renzo Piano, la résidence étudiante Serendicity par LAN et Clément Vergély Architectes, le Lieu de Vie par Muoto Architectes (équerre d’argent 2016), le bâtiment d’enseignement de la Physique par Dominique Lyon, l’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay par Klaus and Kahn, le FLI par Brenac et Gonzales, la Résidence étudiante Joliot-Curie par l’agence DATA, la Résidence étudiante Eileen Gray par Tank Architectes, le Groupe scolaire par Dominique Coulon, le parking silo par GAP Studio ou encore le programme de logements familiaux O’rizon.

Visites organisées en présence des équipes de l’EPA Paris-Saclay. Port du masque et respect des distances de sécurité obligatoire. Chaussures confortables fortement conseillées.

Inscriptions ici.

Oct
18
dim
« Archipel francilien » : voyages d’architecture des CAUE
Oct 18 – Oct 31 Jour entier
"Archipel francilien" : voyages d'architecture des CAUE

Les CAUE Franciliens participent aux Journées nationales de l’architecture. A partir du 18 octobre, ils proposent 8 voyages d’architecture pour une exploration inédite du territoire.  L' »Archipel Francilien » à :
Paris Rive Gauche
Brie-Comte-Robert
Versailles Chantiers
Evry-Courcouronnes
Nanterre
Enghien-les-Bains
et :
Au fil de l’Ourcq
Sur les bords de Marne
Programme et inscription à partir du 21 septembre : www.caue-idf.fr et les tags #JNArchi #JNArchi20 #archipelfrancilien

Déc
5
sam
12e Rencontres naturalistes d’Île-de-France – Webinaire @ En ligne
Déc 5 Jour entier
12e Rencontres naturalistes d’Île-de-France - Webinaire @ En ligne

Cette année, étant donné la situation pandémique actuelle, la 12e édition des Rencontres naturalistes d’Île-de-France est organisée sous la forme d’un Webinaire.

Rendez-vous annuel attendu, ces rencontres nous permettent de revenir sur les moments naturalistes forts de l’année, les résultats d’études, des sujets naturalistes globaux régionaux ou extra-régionaux… Mais également de nous réunir et d’échanger.

Pour cette édition, il sera notamment question de la Vipère péliade et des résultats de 10 années de suivi en forêt régionale de Grosbois (94), de l’importance de la prise en compte des mollusques millimétriques dans la gestion des espaces naturels, du bilan des suivis de populations de Vanneaux huppés et de Pluviers dorés hivernantes sur la région. Seront également présentés la mise en place du Plan Régional d’Actions des Papillons de jour, un retour sur 30 années de suivi floristique d’une commune francilienne, l’effet des connectivités paysagères sur la biodiversité des communautés végétales des pelouses calcicoles d’Île-de-France… Ainsi que le traditionnel retour sur les faits marquants naturalistes de l’année. Retrouvez le programme complet ci-dessous.

Ce webinaire sera accessible via ce lien : 

Nous espérons vous voir nombreux connectés à cet événement en cette année pas comme les autres !

Programme complet :

9h30 : Ouverture par Bruno MILLIENNE, président de l’ARB îdF

9h45 – 11h00 : Observatoire de la biodiversité 

  • La diversité du microbiome des amphibiens : un autre aspect de la biodiversité des mares (Olivier MARCHAL – PNR de la Haute Vallée de Chevreuse et Nicolas POLLET – CNRS)
  • Résultats de 11 ans d’application du programme ROSELIERE sur des carrières franciliennes (Marion PARISOT – Association ROSELIERE)
  • Effets des connectivités paysagères sur la biodiversité des communautés végétales des pelouses calcicoles d’Île-de-France (Alexandrine DANIEL – stagiaire CBNBP)

11h00 – 11h15 : Pause

11h15 > 12h00 : Zoom sur les insectes

  • Le programme inter-PNR franciliens d’amélioration de la connaissance régionale sur les pollinisateurs sauvages (Serge GADOUM – OPIE)
  • La déclinaison régionale du PNA papillons de jour : enjeux de conservation et leviers d’action en Île-de-France (Raphaël VANDEWEGHE – OPIE)

12h00 > 12h40 : Appels à participation

  • Vigie-Terre, un programme de sciences participatives au service de la géologie (Isabelle ROUGET, Asma STEINHAUSSER et Grégoire EGOROFF – MNNH, UMR CR2P et UMS Patrinat)
  • Appels à participation courts (Lucile DEWULF – ARB îdF)

12h40 > 14h00 : Repas 

14h00 > 15h30 : Suivis et actions de protection 

  • Démo GeoNature (Ophélie RICCI et Mustapha TAQARORT – ARB îdF)
  • Hivernage des vanneaux et pluviers en Île-de-France (Maxime ZUCCA)
  • Quelles actions en Île-de-France pour la protection des chauves-souris (Charlotte GIORDANO – Azimut 230 et Julien TRANCHARD – Biotope)

15h30 > 15h45 : Pause

15h45 > 17h00 : Conférences 

  • Dix années de suivi de la Vipère péliade en forêt régionale de Grosbois – premiers éléments de fonctionnement de la population (Vincent VIGNON)
  • Suivi temporel de la flore sauvage d’une commune francilienne, méthodologies et analyses (Gérard ARNAL)
  • Le poids des Vertigos : importance de la prise en compte des invertébrés dans la gestion des espaces naturels (Sylvain VRIGNAUD et Benoît VINCENT)

17h00 > 17h30 : Nouvelles naturalistes d’Île-de-France

  • Découvertes naturalistes marquantes de l’année (Antoine KITA et Guillaume LARREGLE, ANVL)
Fév
9
mar
L’intranquillité des territoires – #3 : Échelle de la biodiversité
Fév 9 @ 10:00 – 12:00

« Rien ne sera plus comme avant » a-t-on souvent entendu dire pendant la crise sanitaire. Des pays entiers ont été pris au dépourvu face à un risque systémique, pourtant prévisible. Les fonctions de l’administration et du gouvernement des populations ont été brutalement mises à l’épreuve, les principes de gestion de l’économie mondialisée mis en accusation.

Le bilan socio-politique de la crise peut s’intégrer dans le prolongement d’une réflexion engagée par notre séminaire sur l’histoire et les cultures de l’aménagement. Nous soutenons l’hypothèse d’une extension de l’aménagement aux grandes fonctions des politiques publiques, en matière de santé, de protection de l’environnement, de transition écologique.

Santé, biodiversité, alimentation, autant qu’énergie et métabolisme des villes : autant de sujets qui, sur les crises, les formes de résilience, le basculement des modèles, imposent des éclairages multiples et complémentaires. Ce sont les nouvelles thématiques de l’aménagement urbain.

La dimension historique des politiques d’aménagement servira à nouveau de fil conducteur pour cette session 2020-2021. Les cinq séances croiseront les points de vue d’enseignants-chercheurs, d’experts et de hauts fonctionnaires, dans la diversité de leurs compétences scientifiques, professionnelles et d’administration publique.

Mardi 9 février 2021 en webinaire

#3 – Échelle de la biodiversité

Avec Émilie-Anne Pépy (Université Savoie Mont Blanc), Patrick Henry (ENSAPB), Marc Barra (ARB ÎdF, L’Institut Paris Region).
Modération : Jean Attali (ENSA), Brigitte Guigou (L’Institut Paris Region).

  • La biodiversité dans les villes: perspectives de recherche en histoire environnementale, par Émilie-Anne Pépy (Université Savoie Mont Blanc)
  • Des tracés aux traces. Considérer les sols dans l’aménagement du territoire, par Patrick Henry(ENSAPB)
  • Du verdissement à l’écologie urbaine : la biodiversité en ville enfin prise au sérieux ? par Marc Barra (ARB ÎdF, L’Institut Paris Region)

SUIVRE LA SÉANCE EN DIRECT

Mardi 9 février 2021 – 10 h à 12 h
Diffusion publique, aucune inscription n’est nécessaire.

Avr
13
mar
Touche pas à mon arbre? – États Généraux de la Forêt et du Bois @ En ligne
Avr 13 @ 14:00 – 18:00
Touche pas à mon arbre? - États Généraux de la Forêt et du Bois @ En ligne

Objectif neutralité carbone en 2050 : Le rôle de la forêt et du bois

Deuxième édition des États Généraux de la Forêt et du Bois, organisée par FIBois Île-de-Franceen ligne – mardi 13 avril à 14h

Face à l’urgence climatique et l’objectif de neutralité – carbone en 2050, des experts de la filière forêt-bois, scientifiques, philosophes, écrivains ou élus viendront questionner l’injonction “Touche pas à mon arbre”. – Cette thématique qui s’inscrit de plus en plus dans le débat public permettra de faire dialoguer les points de vue divergents. Véritable laboratoire pour écrire l’avenir de la filière forêt-bois, les invités viendront débattre des – enjeux suivants :

L’impact du changement climatique et de l’augmentation de la demande de bois sur la gestion forestière et le renouvellement des forêts,
Le développement d’une industrie écologique, avec une logique de circuits courts et d’économie circulaire, dans un contexte de réindustrialisation et réduction des chaînes de production,
La place du bois dans la ville bas carbone en tant que matériau de la transition écologique.

Evénement ouvert aux journalistes, aux professionnels et au grand public

Inscription : http://www.fibois-idf.fr/index.php/touche-pas-a-mon-arbre

 

Mai
12
mer
EXPOSITION Jean Tschumi, architecte – Cité de l’architecture
Mai 12 – Sep 19 Jour entier
EXPOSITION Jean Tschumi, architecte - Cité de l'architecture

EXPOSITION

Jean Tschumi, architecte

Du 12 mai au 19 septembre 2021

Galerie d’architecture moderne et contemporaine

A la suite d’une donation exceptionnelle de plus de 300 dessins à la Cité de l’architecture & du patrimoine en 2019, grâce à la générosité de Bernard Tschumi, cette exposition retrace le parcours de Jean Tschumi (1904-1962), l’un des architectes et enseignants suisses les plus complets du XXème siècle. De ses débuts de décorateur au concours pour le siège de l’Organisation mondiale de la Santé, l’exposition dévoile une architecture pensée comme un art total, à la croisée des leçons décoratives des années 1930, de l’héritage moderne de Perret et des modèles américains de fonctionnalité et de confort des années 1950.

Bien que peu connue du public français, l’œuvre de Jean Tschumi se partage entre la France et la Suisse, où son nom est attaché à une architecture de prestige, fonctionnelle et moderne, spécialisée dans les laboratoires industriels pharmaceutiques et les sièges d’entreprises. À travers une douzaine de projets majeurs, cette première rétrospective française embrasse tous les aspects d’une production qui conjugue des disciplines, des techniques et des échelles variées.

Formé à l’École des beaux-arts et à l’Institut d’urbanisme de l’université de Paris, Jean Tschumi travaille successivement chez l’ensemblier Jacques-Émile Ruhlmann et le ferronnier Edgar Brandt, avant d’exercer sa propre activité de décorateur dans les années 1930 et 1940. Remarqué pour ses réalisations au service de la firme de produits pharmaceutiques Sandoz, Jean Tschumi s’impose après la guerre comme l’un des principaux acteurs de l’architecture corporate en Suisse : de grandes sociétés telles que l’Assurance Mutuelle Vaudoise et Nestlé le chargent de réaliser leurs sièges d’entreprises, vaisseaux amiraux influencés par les nouveaux modèles américains dont les maîtres mots sont la modernité, la fonctionnalité et le confort.

Dans l’oeuvre de Jean Tschumi, décor et mobilier, couleurs et lumière, intégration des arts et du paysage sont autant de recherches qui contribuent à la poursuite sans cesse renouvelée d’un art total.

CITÉ DE L’ARCHITECTURE & DU PATRIMOINE
Juin
9
mer
Libres Ensemble – Exposition sur les berges de Seine
Juin 9 – Oct 31 Jour entier
Libres Ensemble - Exposition sur les berges de Seine

LIBRES ENSEMBLE
5 fresques XXL, 4 artistes
Au coeur des berges de Seine
Du 09 juin au 31 octobre 2021

À l’initiative de la Communauté Portuaire de Paris, l’exposition « Libres ensemble » présentera cinq œuvres monumentales au cœur des berges de Seine sur plus de 1500 m2 et cinq sites emblématiques, à l’heure du retour progressif à la vie.

L’ART COMME SYMBOLE DE VIVRE ENSEMBLE

« Libres ensemble » propose aux Parisiens et aux touristes de se réapproprier l’espace urbain après des mois rythmés par la contrainte. Dès le 09 juin 2021, le public aura le loisir de découvrir ces fresques monumentales au sol sur cinq sites incontournables à Paris : pont des Invalides, pont Alexandre III, pont Marie, pont de Bercy et pont Mirabeau. L’art comme symbole de vivre ensemble, d’être libres.

Olivier Jamey, président de la CPP, confie à Nicolas Laugero Lasserre la direction artistique de cet évènement majeur du mois de juin. Au programme, Ërell, Gilbert Mazout, Jean-Marie Caddeo et Pimax. Quatre artistes qui mettent l’art à la portée de tous pour rendre la vie et la ville plus belles.

Le projet bénéficie du soutien d’Haropa, de la Mairie de Paris et des mairies d’arrondissement.

INFORMATIONS PRATIQUES

  • –  Port du Gros Caillou – 75007 : ËRELL
  • –  Port de la Gare – 75012 : GILBERT MAZOUT
  • –  Port de l’Hôtel de Ville – 75004 : JEAN-MARIE CADDEO
  • –  Port des Invalides – 75007 : PIMAX
  • –  Port de Javel – 75015 : PIMAX
Juin
15
mar
Exposition Henri Cartier-Bresson – Musée Carnavalet
Juin 15 – Oct 31 Jour entier
Exposition Henri Cartier-Bresson - Musée Carnavalet

Exposition au musée Carnavalet – Histoire de Paris
Henri Cartier-Bresson – Revoir Paris

Après quatre ans de travaux, le musée Carnavalet rouvre ses portes le 29 mai 2021 et entame sa nouvelle vie par une exposition temporaire consacrée à Henri-Cartier Bresson, l’un des plus grands photographes français du XXe siècle. Le musée revisite les liens tissés par l’artiste avec une ville où il a toujours habité et qui l’a nourri artistiquement.

Après des débuts marqués par l’influence du photographe Eugène Atget et des artistes
surréalistes, Cartier-Bresson se découvre voyageur au long cours, avec Paris comme port d’attache. Dans cette ville, qu’il ne cesse de redécouvrir, c’est d’abord l’être humain qui l’intéresse. Il le saisit dans la rue ou à l’occasion de rencontres. Il témoigne aussi de grands événements d’actualité comme la Libération de Paris en août 1944 et Mai 68. Il gagne, dès qu’il le peut, les lieux de manifestations.

À Paris, comme ailleurs, son appareil photo ne le quitte pas. Photographier est une respiration, une affirmation, une protestation parfois. Ses images parisiennes qui figurent en bonne place dans son oeuvre, témoignent de ses errances mais sont également prises dans le cadre de reportages et commandes souvent méconnues pour la presse internationale – Cartier-Bresson n’en retient généralement qu’une image dans ses livres et expositions. Cette mosaïque définit un flâneur particulièrement attiré par les quais de la Seine et le Paris des marges.

Fruit d’un travail de recherche de plusieurs années, l’exposition présente des tirages originaux dont une trentaine d’inédits, des publications, ainsi que des enregistrements audiovisuels de l’artiste.

Les photographies sont issues pour majorité des collections du musée Carnavalet et de la Fondation Henri Cartier-Bresson. Conçu conjointement par les deux institutions, ce projet résonne avec l’exposition Eugène Atget – Voir Paris présentée à la Fondation HCB et réalisée à partir des collections du musée Carnavalet.

Un ouvrage comprenant les essais des commissaires et 200 reproductions est publié aux Éditions Paris Musées. Cette exposition est organisée par le musée Carnavalet – Histoire de Paris, Paris Musées et la Fondation Henri Cartier-Bresson.