Audition des candidats à l’élection régionale en Île-de-France : mobilité, modes de vie et transition écologique, quel futur désiré et durable pour la région ?
Le 4 mai, le Forum Vies Mobiles et la Fabrique Écologique organisent une audition des principales têtes de liste à l’élection régionale en Île-de-France sur la thématique « mobilité, modes de vie et transition écologique » qui sera diffusée en direct sur internet. La mobilité, qui est au cœur des compétences de la Région, occupe une place centrale dans les modes de vie des Franciliennes et Franciliens, et cristallise les enjeux sociaux, écologiques et de qualité de vie. Les candidats exposeront leurs propositions et leurs visions du futur du territoire pour répondre à ces défis. Informations et inscription sur cette page.
Le 4 mai de 18h à 20h
En direct sur la page Youtube et Facebook du Forum Vies Mobiles
Lien d’inscription à venir. Voir ici.
Et si nous commencions par réparer le monde ? : exposition manifeste Énergies Désespoirs — Un monde à réparer [in situ]
Les peintures varient selon deux formats différents, allant d’1,5 m de hauteur, jusqu’à 2,5 m pour les plus grandes. Chaque peinture originale est accompagnée d’un cartel venant compléter le propos. Ainsi le dessin, perçu au premier abord à une certaine distance, ouvre au spectateur un monde perceptif et sensible. Puis en s’approchant, le cartel vient détailler les faits à l’origine du dessin, et permet au visiteur d’en apprendre davantage s’il le souhaite. Ce duo dessin-texte est un aspect fondamental de l’exposition, car il permet d’aborder de grands enjeux actuels de manière factuelle et rigoureuse, tout en permettant au spectateur de sortir de la paralysie des faits grâce à l’énergie créative transmise par le dessin.
Le Département de Seine-et-Marne crée avec Chlorobike le premier festival vélo en Île-de-France.
Du 17 au 19 septembre 2021, sur l’île de loisirs de Jablines-Annet, « Vélo en Grand » proposera un espace naturel d’exposition et de tests de vélos et accessoires sur 450 hectares. Qu’ils soient urbains, électriques, pliants, cargos, gravel, de voyage ou nature, ils seront présents lors de ce salon unique en France qui aura tout d’un festival.
En effet, au programme de « Vélo en Grand », 3 jours d’animations, d’initiations, mais aussi des compétitions internationales spectaculaires, des épreuves sportives vélo de route et « gravel », ainsi que des randonnées thématiques pour tous, etc. Une invitation à rouler, découvrir, se faire plaisir en famille ou entre amis pour partager de bons moments le 3ème week-end de la rentrée!
« Vélo en Grand » consacre l’engouement des français pour le vélo et témoigne de la volonté du département de Seine-et-Marne de s’inscrire avec sa marque d’attractivité « Vivre en Grand ! » comme une destination vélo en contribuant à améliorer le moral, la santé et l’environnement de tous.
Le programme sur : https://veloengrand.com/fr/
L’empreinte d’un habitat
Construire léger et décarboné
La quête de légèreté n’est pas nouvelle. L’ambition de réduire la quantité de matière débute il y a un siècle dans un contexte de pénurie de logements et de matériaux. Avec l’urgence de bâtir plus et l’obligation de consommer moins, quelques pionniers inventent d’autres architectures. Ils s’appellent Richard Buckminster Fuller, Charlotte Perriand, Pierre Jeanneret, Albert Frey, Lauwrence Kocher, Walter Gropius, Konrad Wachsmann, Jean Prouvé, Charles et Ray Eames, Makoto Masuzawa, Jorn Utzon… L’exposition « L’empreinte d’un habitat » analyse une trentaine de ces architectures expérimentales réalisées entre 1920 et 2020, qui témoignent de l’évolution de la construction légère dans les pays industrialisées.
Économie de moyen, rapidité de mise en œuvre, modularité, flexibilité et évolutivité… ces qualités inhérentes à la construction légère se conjuguent désormais avec les ambitions écologiques de frugalité : maîtrise du cycle de vie, autonomie énergétique et diminution des émissions des gaz à effet de serre. Conçues par Renzo Pinao, Werner Sobek ou Shigeru Ban, de Paris à Tokyo, les architectures légères contemporaines explorent la modularité, la construction participative ou la miniaturisation. Elles se fondent sur la conviction que construire, en conscience, plus léger réclame moins de matière, utilise moins de ressource, produit moins de déchets, demande moins de temps de montage, nécessite moins d’espace, requiert de façon exponentielle moins d’énergie, réduit symétriquement l’empreinte carbone de la construction d’un habitat.
Exposition présentée du 22 octobre 2021 au 27 février 2022
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Le Musée de la gendarmerie nationale propose du 4 décembre 2021 au 30 janvier 2022 une exposition des œuvres des 11 artistes lauréats en 2020 comme « peintre des armées ».
Que ce soit la Garde républicaine de Mirota, la sculpture héroïque de Virgil ou encore le quotidien des patrouilles de surveillance général de Nicole Motte, plus de 40 œuvres de natures variées (peintures, sculptures et photographies) s’exposent aux yeux du public pour dévoiler l’institution sous une forme artistique, dont certaines encore inédites.
Les peintres des armées sont une institution qui remonte à l’Ancien Régime, lorsque des artistes peignaient pour le roi les places-fortes, les ports et les victoires militaires. Ces artistes « officiels » reconnus par le ministère des Armées sont sélectionnés pour être ceux qui représenteront l’institution sous une forme artistique. En 2020, la Gendarmerie nationale saisit l’opportunité d’agréer ses propres peintres, sculpteurs et photographes pour devenir ses ambassadeurs dans le monde artistique. Le jury du concours, qui s’est tenu le 16 septembre 2020, retient 11 artistes, pour être agréés par la ministre des Armées, et obtenir le titre de « peintre des armées – gendarmerie » : Eric Chaminade (photographie), Damien Charrit (peinture), Yong-Man Kwon (peinture), Joël Lemaine (peinture), Isabelle Maury (peinture), Mirota (peinture), Nicole Motte (peinture), Bruno Rédarès (photographie), Catherine Roch de Hillerin (peinture), Virgil (sculpture) et Sylvain Wajchert (sculpture).
Agréés pour trois ans renouvelables ou titulaires après au moins neuf ans, ils sont tenus d’exposer au moins une œuvre à chaque Salon des peintres des armées. Ils peuvent utiliser toutes les techniques de dessin et de peinture, mais aussi présenter une sculpture, ou encore une photographie. Ils peuvent proposer une œuvre ou en créer suite à une commande de l’Institution. Ils deviennent ainsi des témoins, par leur production artistique, de l’activité de l’Institution et des femmes et des hommes qui y servent.
Musée de la gendarmerie nationale
1-3 rue Emile Leclerc
77000 Melun
Entrée gratuite pour tous