La Vie HLM
Histoires d’habitant.e.s de logements populaires
Auberbilliers 1950 – 2000
Exposition du 16 octobre 2021 au 30 juin 2022
Présentée par : AMULOP – Association pour un Musée du Logement populaire
“La vie HLM. Histoires d’habitant·e·s de logements populaires. Aubervilliers, 1950-2000” est une exposition présentée in situ, dans la barre Grosperrin de la cité Émile-Dubois, communément appelée « les 800 » depuis sa construction, en 1957, à proximité immédiate du Fort d’Aubervilliers (métro ligne 7).
L’exposition propose une expérience immersive dans le quotidien et les parcours de quatre familles qui ont habité la cité des années 1950 aux années 2000, à travers la reconstitution de tout ou partie de leurs logements.
Au cours des deux visites que nous proposons, au choix, le récit de nos guides médiateur·trice·s met à la portée de tous une histoire incarnée d’Aubervilliers et de la France contemporaine vue des quartiers populaires.
CITÉ ÉMILE-DUBOIS
Allée Charles-Grosperrin
93300 AUBERVILLIERS
M° 7 Fort d’Aubervilliers
Tout public
(individuels et groupes)
Visites et ateliers pédagogiques du CM1 à l’université
Réservations sur : https://www.laviehlm-expo.com/
Cellule de performance
Mimosa Echard (France), Ensayos (Camila Marambio (Chili), Christy Gast (USA), Bárbara Saavedra (Chili), Carolina Saquel (Chili), Caitlin Franzmann (Australie), Hema’ny Molina (Chili), Carla Macchiavello (Chili), Denise Milstein (USA), Randi Nygård (Norvège), Anna López Luna (Espagne), Jürgen Nefzger (Allemagne), Théophile Peris & Céleste Thouin (France), Gianni Pettena (Italie), Carolina Saquel (Chili), Endre Tót (Hongrie)
du 7 avril au 17 juillet 2022
Prenant pour titre un terme emprunté au milieu sportif, l’exposition collective Cellule de performance, présentée à la MABA du 7 avril au 17 juillet 2022, met en évidence – à travers un ensemble d’œuvres (films, installations, photographies, dessins) d’artistes français et étrangers – des entités qui co-existent et sont réunies par un objectif commun : celui d’une attention à l’autre, au monde et à ses différents écosystèmes, à rebours des enjeux actuels de performance et de résultat.
MABA
16, rue Charles VII
94130 Nogent-sur-Marne [email protected]
Accès
RER A : Nogent-sur-Marne
puis bus 114 ou 210, arrêt Sous-préfecture RER E : Nogent-Le Perreux
puis direction Tribunal d’instance
Métro ligne 1 : Château de Vincennes
puis bus 114 ou 210, arrêt Sous-préfecture Vélib’ n° 4130
Ouvert au public
Les jours de semaine de 13h à 18h
Les samedis et dimanches de 12h à 18h
Fermeture les mardis et les jours fériés
Entrée libre
EXPOSITION | LES AGENTS SECRETS DU GÉNÉRAL
Les Compagnons de la Libération dans la lutte clandestine (1940-1944)
Du 23 juin au 16 octobre 2022, au musée de l’Ordre de la Libération, Hôtel national des Invalides
Le musée de l’Ordre de la Libération présente, à partir du 23 juin, l’exposition Les agents secrets du Général. Les Compagnons de la Libération dans la lutte clandestine (1940-1944). À l’aide de 130 objets, photographies et documents pour la plupart secrets et inédits, l’exposition décrypte la vie et le rôle des agents clandestins du général de Gaulle de 1940 à 1944. Elle est illustrée par des parcours d’hommes et de femmes choisis parmi les 174 Compagnons de la Libération qui furent des agents secrets de la France libre.
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Sous l’Occupation, une répression impitoyable s’abat sur tous ceux qui – à l’instar des partisans du général de Gaulle – refusent d’abandonner le combat. Les services secrets de la France libre, créés et basés à Londres, jouent alors un rôle majeur dans la recherche d’informations, mais aussi dans le recrutement et la formation d’espions intervenant sur le territoire national par le biais d’opérations clandestines et d’actions militaires et politiques. C’est dans ce contexte que les services de renseignements de la France libre prennent l’appellation de Bureau central de renseignements et d’action (BCRA) il y a 80 ans, en juin 1942.
L’importance de ces services dans la reconquête de la France est établie, de même que les sacrifices immenses que ces agents ont consentis pendant la guerre, au prix de presque 35 % de pertes.